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Tendances monde

Affaire Gaza : le BCG s’enfonce dans la crise
Monde
11/07/25

Deux hauts dirigeants du cabinet se retirent de leurs fonctions de direction, alors que l’ONG Save The Children et le Programme alimentaire mondial suspendent leurs partenariats historiques avec le cabinet ou songent à le faire.

Affaire Gaza : le BCG s’enfonce dans la crise
  • Un troisième ex-Advancy chez SCP
    Monde
    22/02/19

     

    En janvier 2019, Alexandre Szwarcberg, un associé d'Advancy nommé en janvier 2018, a rejoint SCP. La boutique de conseil en stratégie est basée à Levallois-Perret et a été créée par Stéphane Prats. L'ingénieur, diplômé de Centrale Paris (1999), fut un des co-fondateurs Advancy. Il a quitté le cabinet en 2015 pour fonder SCP, qui se présente comme une start-up du conseil en stratégie et de la smart data. L'équipe d'une dizaine de personnes compte par ailleurs un autre associé, Jean-Baptiste Valeyre, lui aussi un ancien consultant d'Advancy (2005-2010). « Nous sommes ravis d’avoir suscité des vocations d’entrepreneurs » commente avec le sourire Éric de Bettignies, partner fondateur d'Advancy.

     

    Crédit photo : Alexandre Szwarcberg.

     

     

  • Grand débat national : Roland Berger choisi pour le dépouillement
    Monde
    20/02/19

    Mercredi 13 février, le gouvernement a annoncé avoir choisi Roland Berger, associé à Cognito et BlueNove, prestataires spécialisés dans la civic tech, pour assurer l'analyse et la restitution des cahiers citoyens (« cahiers de doléances ») et autres courriers rédigés par des millions de Français depuis le début du grand débat national, lancé par Emmanuel Macron le 15 janvier en réponse à la crise des « Gilets jaunes ».

    Si 850 000 contributions ont été postées en ligne – elles restent ouvertes jusqu'au 20 mars et seront analysées par OpinionWay –, 10 800 cahiers de doléances ont été déposés dans les mairies et des courriers ont été reçus par les ministères et les services de l’État. Soit 300 000 pages A4, dont la collecte s'achève le 20 février, que le consortium emmené par Roland Berger se chargera d'analyser.

    Roland Berger et Cognito comptent tous deux parmi les cabinets de conseil sélectionnés à l'été 2018 pour accompagner la réforme de l'État pour le quinquennat en cours, via la direction interministérielle à la transformation publique qui se charge de coordonner leurs interventions auprès de la haute fonction publique.

    Crédit photo : Patrice CALATAYU. Prise le 9 février 2019 CC BY-SA 2.0

  • Un HEC et ex-principal d'A.T.K. managing partner au BCG à Casablanca
    Monde
    19/02/19

    Othman Omary est nommé partner et managing director au bureau de Casablanca au Boston Consulting Group. Il est le quatrième partner de ce bureau, qui est dirigée par Lisa Ivers (HEC 2005), elle aussi partner et managing director. Othman Omary a rejoint le BCG en 2014 après dix années chez A.T. Kearney où il intervenait auprès des institutions financières en Europe jusqu'au grade de principal. Au BCG, il a piloté de nombreux projets de stratégie et de transformation en banque et en assurance, pour des acteurs africains et internationaux, ainsi que pour des institutions publiques. Othman Omary est diplômé de HEC Paris (2004).

    Crédit photo : Othman Omary LinkedIn et BCG. 

  • Le Frenchie du BCG à Detroit aux côtés de Macron, après Obama
    Monde
    18/02/19

    Une mission sur les nouvelles mobilités et les véhicules électriques et autonomes avait été lancée par Emmmanuel Macron, mercredi 3 octobre 2018. Elle avait été confiée à Patrick Pelata, l'ancien directeur général de Renault, et à Xavier Mosquet, expert de l'industrie automobile et associé au sein du Boston Consulting Group.

    Objectif : dresser un constat des forces et faiblesses de la filière automobile française et élaborer un plan de développement des véhicules autonomes en France. Le tandem rendra sa copie dans les prochains jours, a fait savoir Xavier Mosquet à la presse vendredi 8 février.

    En 2009, Xavier Mosquet avait été choisi pour diriger l'équipe de consultants embauchée par l'administration de Barack Obama pour sauver General Motors et Chrysler. Ce diplômé de l'École nationale supérieure des mines, passé plus tard par l'Insead, compte dans les rangs du BCG depuis 1985. Il dirige le bureau du cabinet de Detroit, qu'il a fondé en 2005.

    Crédit photo : Xavier Mosquet. LinkedIn.

  • McKinsey : nouvel associé et relocalisation du directeur Europe
    Monde
    15/02/19

     

    Xavier Cimino (Insa Toulouse 1998, McGill 1999 et HEC 2001), l'ancien managing partner d'Accenture Digital, vient de rejoindre McKinsey en tant que partner. Il s'y consacrera notamment aux industries pharmaceutiques, aux stratégies digitales, à la data et aux transformations numériques. Parallèlement, le Norvégien Pål Erik Sjåtil, nommé managing partner de McKinsey en Europe, a été rapatrié de Moscou à Paris. Fin décembre, McKinsey Paris avait annoncé la promotion de sept nouveaux partners dans la capitale française et en juillet trois autres partners y avaient été relocalisés. De quoi compenser les quelques départs enregistrés début 2018 et répondre à la concurrence directe du Boston Consulting Group.

     

    Crédit photo : Pål Erik Sjåtil et Xavier Cimino. LinkedIn. 

     

     

  • Advancy propose des stages de conseil en stratégie à Boston, Londres, New Delhi, Shanghai, Sydney ou Sao Paulo
    Monde
    14/02/19

     

    Vous êtes à la recherche d'une expérience à l'étranger dans le conseil en stratégie ?

    Advancy lance une nouvelle édition de son International Trainee Program. Le cabinet de conseil en stratégie propose aux étudiants ayant déjà effectué un stage de 6 mois des stages de 6 mois à partir de juin 2019 dans ses différents bureaux étrangers en Angleterre, en Chine, en Australie, aux Etats-Unis, en Inde et au Brésil.

     

  • Sous la pression de l'UE, Malte se tourne vers Oliver Wyman
    Monde
    13/02/19

     

    Le 5 juillet dernier, le ministère des Finances a passé commande à Oliver Wyman d'une mission d'aide à l'implantation de sa législation de lutte contre le blanchiment d'argent et contre le financement du terrorisme.

     

  • Le stop de Christine Lagarde aux consultants
    Monde
    12/02/19

    La secrétaire générale du Fonds monétaire international, la Française Christine Lagarde, a vertement rabroué les consultants en stratégie pour leurs interventions à répétition auprès de nombreux États en développement, en marge du dernier forum de Davos (du 22 au 25 janvier 2019). Commençons par ce qui est prévu par les dix-sept objectifs pour le développement durable des Nations unies plutôt que de  réinventer des stratégies pays par pays, a-t-elle indiqué en substance.

  • « Nous ne sommes plus seulement des consultants », dixit le CEO du BCG
    Monde
    11/02/19

    Soutien du bien-fondé de sa réforme de la fiscalité appliquée aux entreprises, de la renégociation de certains accords commerciaux, de la capacité d'écoute de Donald Trump vis-à-vis des chefs d'entreprise... Une année et demie après avoir quitté le groupe des chefs d'entreprise qui conseillait le président étatsunien Donald Trump, Rich Lesser s'est voulu plutôt défensif sur la justesse de la politique économique du président américain.

  • Consultante le jour, chanteuse le soir
    Monde
    08/02/19

    On connaissait les consultants romanciers (ici et ), les consultants pianistes, les consultants alpinistes ou physiciens, voici la consultante chanteuse ! Malika Mbarki, 29 ans, est consultante senior chez Vertone, mais aussi chanteuse depuis son plus jeune âge. Fin janvier, elle a passé une des étapes de sélection de The Voice Belgique et poursuit son parcours dans le télé-crochet. Malika Mbarki est diplômée d'Audencia Nantes en 2013 et a intégré Vertone la même année.

    Crédit photo : capture d'écran du compte Instagram officiel de Malika Mbarki.

  • Une femme pour diriger Bain en France, une première
    Monde
    05/02/19

     Ada Di Marzo, qui avait été nommée en septembre dernier director de Bain & Company à Paris (16 directeurs à Paris, en moyenne six ans après le passage partner), selon une information des Échos du 5 février 2019. Elle succède à Domenico Azzarello qui avait été nommé quasi jour pour jour voilà cinq ans.

  • A.T. Kearney : Flavie Nguyen partner
    Monde
    05/02/19

    Le cabinet vient d'élire Flavie Nguyen au poste de partner à Paris. Elle s'occupe des sujets d'engagement consommateur, de transformation digitale et des biens de consommation. Flavie Nguyen est diplômée de l'Essec (2003) et a fait toutes ses classes de business analyst à principal au sein d'A.T. Kearney entre 2004 et 2018. Longtemps dernier de la classe en matière de parité des associé(e)s, A.T. Kearney poursuit ainsi ses efforts à Paris.

    Crédit photo : LinkedIn.





  • Data, design, softwares : la course aux emplettes plus ouverte que jamais
    Monde
    01/02/19

    Le 17 janvier, A.T. Kearney a annoncé le rachat de Cervello, une entreprise américaine d’analyse de données. 

    Par ce rapprochement, A.T. Kearney s’adjoint les services de 120 data scientists, sur lesquels toutes les sociétés de conseil en stratégie cherchent à mettre le grappin. Un savoir-faire dans la data, le design et la transformation digitale qui pousse un certain nombre de cabinets à opérer des acquisitions.

  • Les résultats 2019 de SKP en forte croissance
    Monde
    01/02/19

    Digital aux États-Unis, forte accélération en Chine et performance au-dessus de la moyenne en Allemagne : selon le management de Simon-Kucher, ce sont trois des raisons de la forte croissance qu'a connue le cabinet en 2018. Le cabinet publiait lundi 21 janvier un chiffre d'affaires de 309 millions d'euros en hausse de 23 % en un an. En juillet, son CEO expliquait à Consultor de quelles manières le cabinet se voyait rapidement parvenir au milliard d'euros d'activité. 

    Crédit photo : Georg Tacke par Consultor.fr

  • Roland Berger sort de NUMA
    Monde
    31/01/19

     

    Trois après être entré au capital de NUMA, l’accélérateur de start-up parisien, Roland Berger cède ses parts. Le cabinet de conseil profite d'une opération de rachats des parts des actionnaires minoritaires par Maif Avenir, l'actionnaire majoritaire de NUMA. L'incubateur entend se réorienter sur des offres de formation.

    Annoncé en octobre 2015, le rapprochement NUMA-Roland Berger visait trois types offres :

    • le LAB DIGITAL devait permettre aux entreprises clientes de développer et tester leurs prototypes de nouveaux produits ou services numériques ;
    • la deuxième offre, le START-UP STUDIO, proposait l'accompagnement des clients dans la création de leur propre «excubateur » de start-up ;
    • enfin, DIGITAL INSIDE ambitionnait d'aider les entreprises à mener leur propre transformation digitale.

    Par ailleurs, des études communes devaient être conduites.

    Roland Berger indique à Consultor que les opérations avec le NUMA se poursuivront. En septembre 2017, le cabinet avait nommé Cyrille Vincey, un membre du conseil d'administration de NUMA, comme partner à Paris en charge des offres « data analytics & artificial intelligence ».

     

    Crédit photo : Locaux de NUMA à Paris. CC BY-SA 3.0.

     

  • La nouvelle DG de Celio vient de Roland Berger
    Monde
    30/01/19

     

    Gaëlle de la Fosse, partner de Roland Berger à Paris, prend les fonctions de directrice générale de l'enseigne Celio. Gaëlle de la Fosse est diplômée de HEC (1998) et de Sciences Po (1996). Elle avait passé précédemment huit ans chez Capgemini du grade de consultante à celui de principal.

     

    Crédit photo : Gaëlle de la Fosse. LinkedIn. 

     

  • McKinsey, Roland Berger et consorts au pouvoir outre-Rhin ?
    Monde
    29/01/19

    Le chiffre est très parlant : entre 2005 et 2017, le montant estimatif des dépenses cumulées de conseil émanant du secteur public allemand est passé de 1,1 milliard d'euros à 2,9 milliards d'euros. De quoi faire relativiser les 470 millions d'euros annuels que la Cour des comptes française comptabilisait en 2015 dans quatre ministères (l’économie et les finances, la défense, les services du Premier ministre et l’écologie). Et de quoi aussi se poser plusieurs questions sur les raisons d'une pareille croissance. C'est ce que fait Der Spiegel dans une enquête publiée dans son numéro du 26 janvier 2019 : l'Allemagne assiste-t-elle à une montée d'une « République des consultants » à l'aune de la multiplication des missions confiées à McKinsey,  au Boston Consulting Group ou à Roland Berger ?

    Le quotidien allemand rappelle ainsi par le menu plusieurs missions récemment confiées à ces cabinets qui, pour certaines, ont défrayé la chronique. Récemment, Roland Berger a été mandaté pour accompagner la chancellerie d'Angela Merkel dans la définition d'une stratégie allemande en matière d'intelligence artificielle. Un peu plus tôt, en 2018, un rapport de la Cour des comptes allemande pointait le montant très important que le ministère de la Défense allemand avait alloué à des dépenses de conseil, et souvent dans des conditions de transparence contestables. En 2016, une mission a été confiée à McKinsey pour aider l'Office fédéral allemand des migrations à gérer la crise migratoire. Ou encore les 500 millions d'euros engagés d'ici 2022 par le gouvernement fédéral allemand pour la mise en ligne d'un « portail citoyen » : ce dernier doit rendre 575 services publics accessibles en ligne (carte grise automobile, demande de carte d'identité...). De ces 500 millions d'euros, une large partie ira à des prestations de conseil dans l'accompagnement à la mise en place de ce portail. Dont 47 millions d'euros pour McKinsey et sa filiale Orphoz, selon des documents consultés par Der Spiegel.

    Ce qui, analyse Der Spiegel, laisse penser que depuis longtemps les cabinets de conseil ne se limitent plus à la bonne gestion d'infrastructures, comme le fonctionnement des péages autoroutiers. Ils sont aussi très actifs dans l'externalisation de missions de services publics, à l'instar de la quatrième réforme du marché de l'emploi – Harz IV – entrée en vigueur en 2005 et à laquelle McKinsey avait lourdement contribué. 

    « L'Allemagne est l'ancre des activités européennes de McKinsey en Europe », indique également Kevin Sneader, le nouveau global managing partner de McKinsey. Qui a également annoncé, à l'aune de plusieurs interventions polémiques du cabinet dans le secteur public allemand, que toute mission de ce type devra être validée à l'avenir par un comité ad hoc interne.

    Crédit photo : Chancellerie à Berlin. Tobias Nordhausen. Prise le 26 décembre 2017 CC BY 2.0.

  • Automobile : le BCG a la cote chez PHE
    Monde
    28/01/19

    Parts Holding Europe (PHE), groupe de distribution de pièces détachées pour véhicules légers et poids lourds en Europe de l’Ouest (détenu par Bain Capital), a nommé Christophe Boutemy en tant que directeur des achats du groupe pour la région Europe.
    Diplômé de l’École Centrale Paris (2000) et de Stanford University (2001), Christophe Boutemy débute sa carrière dans le secteur du conseil en stratégie et en management (Mars & Co de 2001 à 2006 et The Boston Consulting Group de 2006 à 2009).
    Cette nomination intervient alors que, peu après s'être rendu acquéreur d'Oscaro, le leader français de la vente en ligne de pièces détachées automobile (8 millions de clients), PHE avait annoncé que Philippe Nobile, directeur du BCG, qui y conduit une mission dans des conditions rugueuses, allait prendre la tête d'une direction opérationnelle de transition.


    Crédit photo : PHE


  • Julien Hereng, ancien VP d'A.T. Kearney, rejoint EY-Parthenon comme partner
    Monde
    25/01/19

     

    Julien Hereng passe partner chez EY-Parthenon. L'ancien vice-président d'A.T. Kearney a rejoint les équipes de conseil en stratégie d'EY en décembre. Julien Hereng est diplômé de l'Essec (1999). Il a fait le plus gros de sa carrière chez A.T. Kearney et a également cocréé la boutique de conseil en stratégie de direction générale 6-24.

     

    Crédit : LinkedIn.

     

  • A.T. Kearney au beau milieu d'un maelström politico-judiciaire
    Monde
    23/01/19

    C'est une information du Monde. Le parquet de Paris a été saisi jeudi 17 janvier par le député (LR) d’Eure-et-Loir Olivier Marleix, ancien président de la commission d’enquête parlementaire créée fin octobre 2017 sur « les décisions de l’État en matière de politique industrielle ».

    Pour le député, la procédure de contrôle des investissements étrangers en France a été « contournée » par la présidence de la République à l’époque de la vente à GE. Il émet l’hypothèse, dans le cadre de la vente de la branche énergie d’Alstom à GE, d’un possible « pacte de corruption » (c’est le terme qu’il emploie), au bénéfice du ministre de l’Économie en poste lors de la signature finale du rachat, le 4 novembre 2014.

    Le député écrit au parquet que lors de l’audition de David Azéma, ancien directeur général de l’Agence des participations de l’État (APE), la commission d’enquête a découvert l’existence d’une étude commandée par l’APE au cabinet de conseil en stratégie A.T. Kearney le 23 octobre 2012 dans le cadre « d’une procédure d’urgence, et avec mention du secret ».

    La commande passée au cabinet évoquait le souhait du groupe Bouygues de céder sa participation au capital d’Alstom et lui demandait d’évaluer « les avantages et inconvénients résultant d’un changement d’actionnaire pour l’entreprise ». Comme le précise plus loin dans sa lettre Olivier Marleix, « l’audition de Laurent Desmarets, senior partner chez A.T. Kearney, a permis de confirmer que la commande […] reposait bien sur une information précise relative à l’intention de Bouygues, actionnaire de référence, de vendre ».

    Selon le député, le client d'A.T. Kearney connaissait donc les intentions de Bouygues, et n’a pas jugé bon d’en avertir le ministre de l’Économie. « Les informations recoupées en ma possession, poursuit dans son courrier Olivier Marleix, m’ont permis de considérer que l’auteur de cette commande était le secrétaire général adjoint de la présidence de la République de l’époque [Emmanuel Macron], qui a joué un rôle personnel actif et déterminant sur ce dossier. »

    Ce qui laisse entendre qu'Arnaud Montebourg, ministre de l’Économie en poste au moment où l’annonce de la vente a été rendue publique (début 2014), aurait été « court-circuité » à l'Élysée par Emmanuel Macron. Et laisse entendre aussi que la campagne d'Emmanuel Macron aurait pu être avantagée par les nombreux bénéficiaires (banquiers, avocats, communicants) du rapprochement autorisé le 5 novembre 2014 par l'ancien ministre de l'Économie.

    Arnaud Montebourg tout comme Emmanuel Macron ultérieurement ont indiqué avoir appris les négociations entre Alstom et GE par une dépêche de Bloomberg le 23 avril 2014Début 2014, Arnaud Montebourg avait lui-même sollicité les conseils d'un autre cabinet de conseil, Roland Berger, sur la situation d'Alstom. 


    Crédit photo : Alstom, Bloomfield CT, 7/2014 Pics by Mike Mozart of TheToyChannel and JeepersMedia on YouTube. 

    CC BY 2.0

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