
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Sur le site du BCG, la page « Diversity, Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024. Chantre de la DEI et de son conseil dédié, le cabinet pourrait-il y renoncer ?
Booz Allen, Accenture, Deloitte, KPMG : les renoncements aux politiques de diversité-équité-inclusion (DEI) se sont succédé en février 2025. Quel impact pour les cabinets de conseil en strat’ ?
Après l’annonce d’Accenture qui renonce à ses « objectifs de DEI », le patron Monde de McKinsey réaffirme son engagement en faveur de la diversité tout en jouant sur les mots.
Dès le lendemain de son investiture du 20 janvier 2025, le 47e président des États-Unis d’Amérique a annoncé que les pays européens (tout comme la Chine, le Canada et le Mexique) pourraient être soumis à des droits de douane, déclarant ainsi : « L’Union européenne est très mauvaise pour nous. Ils nous traitent très mal. Ils ne prennent pas nos voitures ou nos produits agricoles. En fait, ils ne prennent pas grand-chose, donc ils sont bons pour nos droits de douane. »
Le 12 octobre, Alvarez & Marsal a confirmé l'arrivée de Nicolas Taufflieb, en provenance d'AlixPartners, dans ses équipes en tant que managing director en charge de la practice services financiers en France. Il ne vient pas seul : Alvarez & Marsal rallie aussi Philippe Dupont, l'ancien PDG du groupe Banque Populaire, qui était senior advisor pour AlixPartners depuis 2016. Il prend des fonctions similaires chez Alvarez & Marsal.
Crédit photo : Alvarez & Marsal.
Six mois après un vaste scandale en Afrique du Sud qui a vu McKinsey accusé de participer à un scandale de corruption de grande ampleur, voilà le cabinet à nouveau empêtré dans une affaire qui fait désordre.
Jean-Marc Janaillac (HEC 1975, ENA 1980), PDG d'Air France-KLM jusqu'en mai 2018 après le rejet d'un accord salarial qu'il avait soumis au vote, rejoint le cabinet Roland Berger en tant que senior advisor.
L'ancien PDG de Transdev, président du directoire de RATP Développement, président de l'office de tourisme et des congrès de Paris, doit appuyer le cabinet dans son expansion en France et à l’international, notamment dans les secteurs de la mobilité, du tourisme et du service public, fait savoir le cabinet lundi 22 octobre 2018.
Jean-Marc Janaillac avait débuté sa carrière au sein de l'Administration où il a été successivement directeur de cabinet du préfet du Finistère, puis du préfet du Val-d'Oise (1980-1983). Il devient ensuite chef de cabinet du secrétaire d'État au Tourisme (1983-1984), puis directeur général du service français du tourisme à New York (1984-1987). De 1987 à 1997, il assure les fonctions de directeur général du groupement d'intérêt économique Maison de la France, chargé de la promotion touristique de la France à l’international. Jean-Marc Janaillac a été remplacé chez Air France par Benjamin Smith.
Jeudi 11 octobre, le cabinet de conseil Bain & Company et Endava ont annoncé la signature d'un partenariat stratégique. Endava compte 4 800 salariés et quatorze bureaux en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. La société intervient sur des sujets aussi divers que l'informatique en nuage, la constitution de portefeuille de paiement électronique ou le développement d'applications mobiles. Pour concrétiser ce partenariat, Bain a pris une participation au capital d'Endava, à l'occasion de son introduction en bourse en juillet sur le New York Strock Exchange.
Endava rejoint ainsi le Bain Alliance Ecosystem dont le cabinet avait annoncé la création le vendredi 17 novembre 2017 avec l’objectif de faire face aux nouveaux besoins de ses clients nés de la révolution digitale.
Cet écosystème a permis par exemple la création d’une smart factory pour un constructeur automobile ou l’évaluation de la maturité digitale de l’IT chez un opérateur télécom. En janvier 2018, il avait été développé auprès de 175 clients.
Crédit Photo : Endava Facebook.
Élu en avril, Alex Liu, 60 ans, s'est livré au Financial Times. On y apprend que le nouveau patron d'A.T. Kearney compte parmi la génération d'associés du cabinet qui a racheté le capital du cabinet à EDS, dix ans après que la firme de conseil technologique l'avait acquis.
Une opération qui ne pourrait plus avoir lieu, assure-t-il, quand bien même la conjoncture favorise les rapprochements entre conseil et technologie. Des discussions comme celles qui avaient eu lieu entre A.T. Kearney et Booz sont improbables, défend-il, sauf si un pareil rapprochement « avait une valeur à couper le souffle du point de vue des clients ».
Avec 300 associés dans le monde, le nouveau patron se félicite du côté familial de la société, gage de sélectivité des clients à le lire, et assure connaître le prénom du conjoint de chaque partner. La concurrence des géants du secteur, il la renvoie à ses conflits d'intérêts récurrents et estime qu'elle finira par être obligée de se séparer de certaines de ses activités. Tout comme les Big Four de l'audit qui lorgnent le conseil de longue date et dont il estime qu'ils seront limités réglementairement.
Ce qui ne veut pas dire que prendre la tête d'A.T. Kearney est de tout repos. Du point de vue du management, « il y a sans doute un seul volant pour diriger la compagnie mais vous pouvez vous retrouver avec 300 mains dessus à tout moment », dit-il. Soulignant la complexité de manager des partners qui passent leur temps eux-mêmes à donner des conseils en management. Autre point de difficulté : la conservation des équipes qui sont activement courtisées par la concurrence et les géants du digital. Et de préciser que « la société qui a embauché le plus d'anciens d'A.T. Kearney à ce jour est Amazon ».
Crédit photo : A.T. Kearney
Un envoi par erreur lourd de conséquences. Un cabinet de conseil, dont l'identité reste inconnue, a fait parvenir à une partie des salariés de Roquette – le fabricant de dérivés de l'amidon basé à Lestrem (Pas-de-Calais) où il était mandaté – un listing d’une partie des salariés sur lequel chacun est affublé de qualificatifs dégradants, selon la section locale de la CFDT qui a révélé l’existence de cet envoi le 4 octobre 2018. Branle-bas de combat au sein de l’entreprise : interrogée, elle a fait savoir qu'elle n'avait pas sollicité ce document et estime que le cabinet mandaté « a agi de manière inappropriée dans le cadre de sa mission et a établi un document non demandé par Roquette ».
Crédit photo : relations publiques de Roquette
Pierre Mariani, diplômé de HEC (1977) et de l'ENA (1982), ancien directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy lorsqu'il était ministre du Budget (1993 à 1995), ancien responsable de la banque de détail à la BNP Paribas, ancien PDG de la banque franco-belge Dexia, rejoint AlixPartners comme managing director. Il sera rattaché à la practice services financiers du cabinet dans le bureau de Dubai. Il quitte les fonctions de senior partner chez Roland Berger qu'il occupait, à Dubai également, depuis septembre 2014.
Crédit photo : Dubai - vue de la Burj Khalifa - 18-06-2011 - 17h42 CC BY-ND 2.0
L’autorité de tutelle du secteur de l’audit au Royaume-Uni a annoncé lundi 8 octobre qu’elle pourrait interdire aux cabinets de fournir du conseil aux entreprises dont ils sont chargés de vérifier les comptes, selon Reuters.
PricewaterhouseCoopers (PwC), EY, Deloitte et KPMG fournissent généralement des services de conseil à des entreprises dont ils vérifient déjà les livres de compte. Cette double activité nourrit les doutes sur la capacité des cabinets d’audit à critiquer les orientations définies par les dirigeants de leurs entreprises clientes.
Toujours selon l’agence de presse, en juin, le Financial Reporting Council (FRC) a infligé des amendes de 6,55 millions de livres (7,4 millions d’euros) à PwC et de 325 000 livres à son ex-associé Steve Denison à la suite de la faillite de la chaîne de magasins BHS. Steve Denison n’avait facturé que deux heures d’audit, mais trente et une heures de prestations autres, laissant l’essentiel de l’examen des comptes de BHS à des collègues moins expérimentés.
Le FRC a présenté à cette occasion un « nouveau programme stratégique » censé mieux garantir la préservation de l’intérêt général dans les pratiques du secteur.
« L’examen consistera notamment à déterminer si de nouvelles initiatives sont nécessaires pour éviter que l’indépendance des cabinets d’audit ne soit compromise, notamment si les activités de conseil aux entreprises qu’ils auditent doivent être interdites », déclare le FRC dans un communiqué.
Crédit photo : Financial Reporting Council
McKinsey travaille depuis plusieurs mois pour le compte du gouvernement de Porto Rico pour l’aider à relever ses finances. Mission pour laquelle le cabinet a facturé plusieurs dizaines de millions de dollars. Jusque-là, rien de très neuf sous le soleil, puisque le cabinet de conseil américain est régulièrement sollicité par les États sous tous les tropiques.
Mais sur l’île caribéenne aux 3,4 millions d'habitants, McKinsey conseille simultanément ce territoire des États-Unis sur la manière de gérer une dette colossale (comprise entre 74 et 123 milliards de dollars selon les sources) alors que MIO Partners, son fonds d'investissement secret dont le FT avait révélé l'existence en 2016 et qui gère quelque 25 milliards d’actifs de ses anciens collaborateurs et retraités, est lui-même créditeur de la dette portoricaine selon une enquête du New York Times.
À laquelle le cabinet a répondu en faisant savoir qu’il avait fait toutes les déclarations requises et que ces activités de conseil et d’investissement sont distinctes.
Comme le rappelait l’AFP et Challenges, Porto Rico a longtemps été une destination dorée de la jet set, jouissant d'exonérations fiscales fédérales qui ont poussé les grandes entreprises américaines à s'y installer en nombre pendant des décennies... jusqu'au retrait de ces avantages en 2006. Alors même qu'elle s'enfonçait dans la récession, c'est sur le marché américain des obligations municipales que l'île a pu continuer à s'endetter, alléchant les investisseurs avec ses titres exonérés d'impôts. Finalement incapable de rembourser ses créanciers, l'île a déclaré début mai 2018 le plus gros processus de faillite jamais lancé par une entité locale aux États-Unis.
Crédit image : Gilles Messian, San Juan, Porto Rico CC BY 2.0
Si les systèmes de santé de nombre de pays africains ont fait des progrès très significatifs (espérance de vie, couverture des assurances santé) ces dernières décennies, des progrès importants restent à accomplir. C’est le diagnostic aussi établi par Tech Care For All, la société de l’économie sociale et solidaire créée en 2017 par Emmanuel Blin, l’ancien directeur de la stratégie du groupe pharmaceutique Bristol-Myers Squibb. La société entend développer des solutions technologiques digitales ayant déjà fait leurs preuves et à même de solutionner des pénuries de soins. Une ambition à laquelle concoure Kea & Partners.
Le cabinet de conseil en stratégie parisien a co-fondé et accompagné l’incubation de la start-up pendant six mois avec notamment l’aide de son président, Arnaud Gangloff, et deux senior partners, Jörg Ohleyer et Olivier Tézenas du Montcel. Tech Care For All vient de boucler un nouveau financement privé et a inauguré ses bureaux à Mumbai (Bombay) et à Dakar. Nairobi ouvrira début décembre.
Crédit Photo : Dr David Luu, The Heart Fund in Ivory Coast, Africa
Oliver Wyman est mandaté par la Deutsche Bank après qu’une précédente vague de tests de résistance de la Réserve fédérale américaine (Fed) a pointé des lacunes sérieuses, au point de lister la banque allemande sur une liste rouge interne d’institutions financières à risques. Selon le Financial Times, la banque allemande s’est tournée vers des consultants externes lorsqu’elle a constaté qu’elle n’avait pas les ressources internes à même de répondre aux volumes d’informations demandées par la Fed.
C’est Berat Albayrak, le ministre des Finances turc et beau-fils du président Recep Tayyip Erdoğan, qui l’annonçait dans un entretien au quotidien national Sabah fin septembre : pour redresser l’économie turque durement affectée par des sanctions économiques américaines et la chute consécutive de la devise nationale, la livre turque, le pays s’apprêtait à mandater McKinsey.
Objectif : forger les bases d’un programme pluriannuel de croissance. Une annonce qui n’a pas été du goût, ni de l’opposition, ni de son beau-père. À l’occasion d’une réunion de son gouvernement ce samedi 6 octobre, Recep Tayyip Erdoğan a fait publiquement savoir qu’une intervention de McKinsey était exclue.
McKinsey est régulièrement sollicité par des États sur des plans pluriannuels de croissance, comme au Liban récemment. Ce qui suscite souvent des critiques virulentes des oppositions locales, sur le coût de ces plans notamment.
Sébastien Cailliau, 45 ans, diplômé de l’Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace (1997) rejoint Cylad Consulting en tant que directeur associé au bureau de Paris. Sébastien Cailliau a travaillé pendant 20 ans dans le conseil de direction générale d’abord chez Roland Berger, dont il était un des partners avant son départ en 2014, puis au Boston Consulting Group (BCG) où il avait été recruté comme principal.
Chez Roland Berger Paris, un partner arrive, un partner s'en va. Jean-Luc Taborin, 51 ans, est nommé associé au sein de la practice industrie pharmaceutique et santé et opérations. Dans le même temps, en septembre, Mehdi El Alami a quitté le cabinet dont il avait été nommé partner en décembre 2016. Il a rejoint Oliver Wyman en France en tant que partner où il s'occupe de transport, de logisitique et supply chain. Jean-Luc Taborin est ingénieur en chimie (Chimie ParisTech – ENSCP - 1990).
Avant de rejoindre Roland Berger, Jean-Luc Taborin a passé quatre ans dans le conseil chez Kurt Salmon puis chez Deloitte, où il a mené des projets pour des acteurs de l'industrie pharmaceutique mais aussi cosmétique et chimique.
L’Express relate, de manière extrêmement croustillante (à lire ici), l’audience publique du Conseil des Prud'Hommes du 30 mai 2018 à 16h20. Celle-ci confrontait le bureau français d'un cabinet de conseil en stratégie à un ex-partner Responsable du bureau parisien ainsi que de plusieurs autres pays de la région « sud-ouest » incluant notamment le Maroc, l’Espagne ou le Canada.
Le compte-rendu de l’audience nous permet d’en savoir plus sur les responsabilités d’un responsable de pays, son salaire et ses objectifs et lève le voile sur comment cela se passe quand les choses tournent au vinaigre dans le monde du conseil en stratégie.
Le partner, qui a rejoint un autre cabinet de conseil depuis, a été licencié pour insuffisance professionnelle pour « difficultés de management », «décisions prises en opposition avec le groupe», «manque d'implication», « objectifs insuffisants » et la « baisse du chiffre d'affaires ».
Son licenciement a été reconnu sans cause réelle et sérieuse. Le conseil a condamné son employeur à lui payer 400.000 euros de dommages et intérêts.
En comparant avec les 500.000 euros qui lui avait été proposés pour partir, pas sûr qu'il ait fait une bonne affaire ...
Crédit photo : Actualitte
Sébastien Essioux (ESCP 1988) est nommé nouveau directeur général du groupement Les Mousquetaires. Il avait rejoint le groupement en janvier 2017 en tant que directeur financier. Sébastien Essioux a été principal chez A.T.Kearney (de juin 2001 à octobre 2003) et manager chez Mars & Co (de mars 1994 à août 1997).
Le groupement des Mousquetaires a réalisé un chiffre d'affaires de 41,6 milliards d'euros en 2017 et compte 3 610 points de vente en Europe dont 2 838 en France. Entre autres enseignes, le groupement compte Intermarché, Netto ou Bricomarché.
Le manque de parité et de diversité ne sont pas des sujets neufs dans le conseil en stratégie. Ce dont Leila Hoteit a parfaitement conscience. La consultante est partner et managing director au Boston Consulting Group et une ancienne de Booz & Company. Dans un portrait que lui consacre le Commerce du Levant, périodique économique francophone au Liban et au Moyen-Orient, elle décrit sans surprise un milieu très masculin et explique la résilience dont elle a dû faire preuve pour se hisser au sein du partnership.
Un état de fait auquel elle entend remédier davantage en tant que responsable de la diversité et de l’inclusion pour le BCG au Moyen-Orient et en Europe. Selon elle, des solutions prosaïques sont sous-utilisées jusqu'à présent et permettraient d'augmenter la part des femmes dans les fonctions d'encadrement. Et de citer la mise en place d’un système de garde d’enfants efficace ou l’interdiction des réunions avant 9 heures (ou après 17 heures).
Basée à Dubaï, Leila Hoteit est diplômée d'un MBA de l'Insead et d'un PHD de l'Imperial College de Londres. Elle est mère de trois enfants.
Dans ses fonctions de conseil au BCG, elle est spécialiste des secteurs de l’éducation et du développement du capital humain. Son équipe aide, en ce moment, plusieurs États du Golfe à réformer leur système éducatif.
David Bishop, 36 ans, partner de L.E.K. Consulting depuis 2014 rejoint le bureau parisien du cabinet de conseil. Il vient renforcer les équipes retail & consumer products et industrials. En 2004, il intègre L.E.K. Consulting à Auckland (Nouvelle-Zélande) puis à Sydney. David avait travaillé six mois au bureau parisien en 2008. Il est diplômé de l’université d’Auckland.
Bilan plus que mitigé. Trois ans après avoir mandaté McKinsey dans l'accompagnement d'un programme pluriannuel de réduction des coûts et de réorganisation, Fonterra, la coopérative laitière néo-zélandaise, a publié mi-septembre une perte annuelle de 196 millions de dollars néo-zélandais (110 millions d'euros), la première de ses 17 ans d'histoire.
Drôle de chute alors que le plus gros exportateur mondial de lait affichaient des bénéfices de 745 millions de dollars néo-zélandais lors de l'exercice précédent. Dans ce contexte, la mission de McKinsey, facturée plusieurs dizaines de millions de dollars, selon les informations de la presse néo-zélandaise, fait tache.
Le PDG par intérim de la coopérative, Miles Hurrell, nommé mi-août en remplacement de son prédécesseur démissionnaire, a fait savoir lors de la présentation des résultats annuels que tout lien d'affaires avait été rompu avec McKinsey. Et que la période de revue de ses actifs sera gérée sans aucun recours à des consultants externes.
Par le passé, il était également arrivé à Advancy de remporter une mission auprès de Fonterra, pour l'aider à identifier des pistes rentables de développement en Chine.
Après l'annonce du départ d'Ivan Gazidi, le directeur exécutif de l'Arsenal Football Club pour l'AC Milan, c'est l'actuel directeur commercial du club londonien qui a été choisi pour prendre la relève. Vinai Venkatesham, en plus de ses anciennes fonctions d'encadrement au comité olympique de Londres 2012, a pour particularité d'avoir un passé de consultant chez Deloitte et de manière plus anecdotique chez L.E.K. Il y avait passé un été en 2001.