
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Lors de la finale de l’Accuracy Business Cup 2025, 27 étudiants représentant 9 pays ont relevé le défi stratégique et financier posé par Danone et Accuracy à Paris. Débrief avec le partner en charge de la compétition, deux équipes de candidats et des membres du comex du géant français de l’agroalimentaire.
Les consultants remplacés par l’IA ? On en parle depuis le lancement de ChatGPT fin 2022, ou presque. Xavier AI et son CEO-cofondateur, Joao Filipe, annoncent l’avoir fait.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Sur le site du BCG, la page « Diversity, Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024. Chantre de la DEI et de son conseil dédié, le cabinet pourrait-il y renoncer ?
En juin 2009, Antoine Desjars et Olivier Dupin, les deux cofondateurs d’Ares & Co, imaginent la création d’un cabinet post-crise des subprimes, exclusivement positionné sur les services financiers, la banque et l’assurance. Dix ans plus tard, le cabinet compte près de quarante consultants.
Pour marquer cette première décennie, et changer du traditionnel séminaire organisé chaque année sur un week-end au ski, l’ensemble des consultants du cabinet est parti en Afrique du Sud à Johannesburg en avril. D’autres événements suivront cette année.
Enfin, Ares & Co déménage. Le cabinet reste au 15 avenue de la Grande Armée dans le 16e arrondissement de Paris, mais change d’étage : jusque-là installé sur deux étages, il prendra possession d’ici la fin de l’année d’un plateau unique plus vaste pour accueillir l’ensemble du staff élargi.
Crédit photo : logo Ares & Co.
Après son lancement global en 2016, Simon Kucher & Partners déploie depuis un an à Paris la marque Digital Solutions. Marque ombrelle imaginée comme un agrégateur de compétences en interne et une rampe de lancement de nouveaux services à l'externe, elle compte pour l'heure un staff dédié de vingt-cinq personnes – constitué par recrutements externes et réorganisations internes – entre San Francisco, Londres, Francfort et Paris donc.
Dans la capitale française, une équipe de trois personnes a été constituée depuis janvier 2019 autour de Damien Robert (Supaero 2000). Partner tourisme, loisirs et transports de 2011 à 2018, il a pris en janvier 2019 la responsabilité de Digital Solutions à Paris en transverse pour l'ensemble des practices, en tant que senior director.
La marque Digital Solutions regroupe trois briques de compétences : la transformation digitale, dont la direction globale a été confiée au Néerlandais Marc Huijbregts, un ancien d'Accenture recruté à Londres en février ; les techniques d'analyse du big data pour lesquelles plusieurs data scientists ont été recrutés ; la portabilité de ces solutions chez les clients.
Digital Solutions pourrait, à terme, compter une dizaine de personnes à Paris.
Crédit photo : Damien Robert, LinkedIn.
Anas Hanan, 42 ans, signe son retour chez Roland Berger en tant que partner. Il renforce la practice aéronautique et défense qui avait déjà enregistré en janvier l'arrivée de Cédric Oswald, lui aussi un ancien du cabinet. Ils travailleront tous deux sous la direction de Thierry Duvette.
Anas Hanan a dix-sept ans d’expérience dans les secteurs de l'aéronautique & défense et du transport aérien, dont treize ans chez Roland Berger (2002 à 2015), à Paris et à Bruxelles. Depuis 2017, Anas Hanan travaillait chez Aviapartner en tant que vice-président en charge de la transformation et membre du comité exécutif. Précédemment, il était principal au sein du Boston Consulting Group (2015-2017).
Autre mouvement dans le partnership parisien de Roland Berger : Yannig Gourmelon, qui était partner à Paris sur le secteur public, les utilities et la Chine – où il a travaillé pour le cabinet entre 2010 et 2014 – rejoint McKinsey en tant qu'associate partner pour le service public et les utilities.
Crédit photo : Anas Hanan par Roland Berger Paris/Yannig Gourmelon LinkedIn.
Patrik Ringstroem (diplômé d’un bachelor de la London School of Economics and Political Science en 2004), ancien partner chez Oliver Wyman (2004-2017), devient directeur de la stratégie du groupe d’assurance MetLife. Il occupait depuis 2017 des fonctions analogues à la direction de la stratégie de JPMorgan Chase & Co.
Crédit photo : LinkedIn.
Fin 2018, Bain & Company estime avoir mondialement réalisé en trois ans l’équivalent de 240 millions de dollars de missions pro bono (non facturées). Le cabinet s’était fixé pour objectif d’atteindre le milliard de dollars de missions pro bono en dix ans, entre 2015 et 2025, soit 100 millions de dollars par an. Une somme qui, pour l’exercice 2017, représente 2,9 % des 3,4 milliards de chiffre d’affaires du cabinet. En France, des consultants étaient, par exemple, intervenus pro bono pour la refonte du MBA de HEC. L'ensemble des cabinets de conseil en stratégie intervient à titre gracieux pour diverses organisations auprès desquelles ils missionnent des consultants volontaires.
Crédit photo : Bain & Company. Des consultants, au titre de l'engagement pro bono de la compagnie, peuvent se consacrer pendant plusieurs mois à temps plein à un stage externe à la firme.
« Le charbon dans le mix électrique en 2050 », « prise en charge des maladies rares », « protection de Paris contre les crues de la Seine » : tels sont quelques-uns des projets de recherche auxquels traditionnellement les élèves de première année des Mines ParisTech se consacrent dans le cadre d’un module d’enseignement de trois semaines appelé « Les métiers de l’ingénieur généraliste ».
La Secrétaire d’État américaine à l’Éducation Betsy Devos a fait appel à McKinsey pour passer en revue les coûts afférents au portefeuille d’emprunts étudiants de 1 500 milliards de dollars détenu par l’État américain et dont une partie pourrait être revendue à des investisseurs privés, selon la presse américaine. Pour l’administration fédérale de Donald Trump, un risque croissant d’impayés, soldés par le contribuable, justifierait d’envisager une revente partielle.
Crédit photo : U.S. Secretary of Education Betsy DeVos speaking at the 2017 Conservative Political Action Conference (CPAC) in National Harbor, Maryland. Photo par Gage Skidmore prise le 23 février 2017 CC BY-SA 2.0.
Après l'Algérie, au cours des mois qui ont suivi sa prise de fonction en tant que partner chez Roland Berger le 12 février 2018, Axelle Lemaire était le 25 avril et pour quarante-huit heures à Abidjan, la capitale économique de Côte d'Ivoire, rapporte la presse locale.
Au cours de ce séjour, l’ancienne secrétaire d’État française en charge du numérique et de l’innovation de 2014 à 2017 a rencontré le vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan, qui l'avait déjà reçue en 2015, ainsi que le ministre de l’Économie numérique et de la Poste, Claude Isaac Dé.
Au menu de leurs discussions, les éventuelles interventions que Roland Berger pourrait opérer en Côte d'Ivoire en faveur de la formation des jeunes générations aux métiers recherchés par les entreprises dans le domaine du digital (codeurs, développeurs, concepteurs de sites Internet, applications mobiles) ainsi que pour l'accompagnement des start-up ivoiriennes en Afrique et à l'international. Dernier domaine de collaboration évoqué : le développement du parc technologique Mahatma Gandhi dans la zone franche de Grand-Bassam, en grande banlieue d'Abidjan.
Crédit photo : French Tech Abidjan.
Six mois après le rachat d'Oscaro, leader français de la vente en ligne de pièces détachées automobiles par Parts Holding Europe (PHE), groupe de distribution de pièces détachées pour véhicules légers et poids lourds en Europe de l’Ouest, qui avait donné lieu à un management par intérim du BCG, Oscaro a un nouveau directeur général.
Le 24 avril, Parts Holding Europe (PHE) a annoncé l’arrivée de Jan Löning comme directeur général d’Oscaro. À 55 ans, ce Franco-Allemand diplômé de HEC 1988 fut consultant chez Oliver Wyman à Paris et Londres entre 1988 et 1997 (jusqu'au grade de principal).
Il rejoignit plus tard Kering (PPR), puis Avis, Yves Rocher et Europcar dont il était jusqu'à présent directeur des projets stratégiques.
Crédit photo : Jan Löning/Oscaro/LinkedIn.
L'innovation date – sa première utilisation est intervenue en novembre 2017 auprès de 520 candidats à l'entrée au bureau de Londres –, mais elle n'en demeure pas moins très originale dans un exercice de recrutement habituellement limité à une succession d'entretiens portant sur la personnalité des candidats et leurs capacités à résoudre des cas d'affaires.
McKinsey teste dans ses processus de recrutement l'utilisation pendant une heure d'un jeu vidéo ne requérant ni connaissance business ni compétences particulières. L'histoire aux airs de Robinson Crusoé dans laquelle le joueur-candidat doit s'immerger est simple : vous vous retrouvez sur une île déserte au beau milieu de l'océan et constatez que sa faune se réduit très rapidement. Que décidez-vous de faire ?
Le jeu a été développé en collaboration avec la start-up Imbellus, qui entend révolutionner les méthodes d'évaluation des étudiants à l'université et des candidats à l'emploi, ainsi qu'avec le Cresst, un centre de recherche de la UCLA, l'université de Californie.
L'objectif affiché par McKinsey avec l'introduction de ce nouvel exercice est de ne plus passer à côté de certaines compétences ou de certains profils. Comment telle personne prend-elle en compte une nouvelle information et qu'en fait-elle ? Cette personne sait-elle adopter une méthodologie intuitive ou créative ou utilise-t-elle des méthodes préconçues ? Peut-elle gérer plusieurs facteurs en même temps ? Telles sont quelques-unes des compétences que ce jeu cherche à tester.
Début 2018, McKinsey se fixait pour objectif d'étendre le recours à ce jeu vidéo à plusieurs pays avant que ce programme-pilote ne soit officiellement introduit dans les processus de recrutement.
Crédit photo : capture d'écran de la présentation par McKinsey du fonctionnement de ce jeu vidéo de recrutement.
Pascal Armoudom (EM Lyon 1993 et MBA Essec 2000) a quitté en janvier ses fonctions de partner luxury chez A.T. Kearney. Il prend celles de directeur de la stratégie et de l'innovation du Fonds public d'investissement (PIF), le fonds souverain d'Arabie Saoudite. Il était partner à Paris de 2015 à 2019 après une première vie au sein du cabinet à Shanghai de 2000 à 2014, entrecoupée d'une année chez Kurt Salmon.
L'Arabie Saoudite se démène pour alimenter les coffres de son fonds souverain en menant un plan risqué pour diversifier son économie, alors que la cotation en Bourse de sa compagnie pétrolière Aramco est au point mort, rappelait l'AFP en 2018. Le PIF vise à faire passer ses actifs d'environ 230 milliards à plus de 2 000 milliards de dollars d'ici 2030 et promeut agressivement une foule d'investissements, entre Uber et un projet de mégapole sur la mer Rouge, chiffré à 500 milliards de dollars. Le fonds a également investi dans l'entreprise de tourisme spatial Virgin Galactic et promis des dizaines de milliards de dollars pour des projets gérés par SoftBank et Blackstone.
Crédit photo : Pascal Armoudom LinkedIn.
Outil d'évaluation des salariés en ligne, mise en contact avec un coach en vingt-quatre heures, obtention de solutions rapides aux sujets du quotidien, suivi simultané pour les entreprises du retour sur investissement : tels sont quelques-uns des atouts que met en avant l'entreprise de coaching en ligne Simundia, dont l'un des associés fondateurs est un ancien consultant de Roland Berger. Grégoire Schiller (HEC Paris 2012), consultant chez Roland Berger de 2012 à 2015, aussi passé par Jumia. Colombe Mandula, membre de l'équipe RH du BCG en 2014 et 2015, fait également partie de l'aventure depuis le début.
La start-up a annoncé mi-avril avoir levé deux millions d’euros pour accélérer sa croissance auprès de Xavier Niel (Kima Ventures), du fonds américain FJ Labs et des business angels tels que Catherine Snyers (vice-présidente de la Société française de coaching), Steve Fiehl (fondateur de CrossKnowledge), Fabienne et Jean-Marie Rétif (BilletRéduc, SeLoger), et des investisseurs de la communauté AngelSquare. Simundia revendique à date plus de trente clients grands groupes (Sanofi, BNP Paribas, Valeo, Deloitte...) dont quelques noms connus dans le secteur du conseil en stratégie : Roland Berger et Monitor Deloitte.
Simundia est incubée à Station F que les anciens et actuels du conseil en stratégie investissent en nombre. Comme Antoine Loron, lui aussi un ancien consultant de Roland Berger, qui veut avec sa société medGo améliorer la gestion chaotique du déficit de personnel dans les établissements de soin en France. En août 2018, A.T. Kearney annonçait s'associer à la création à Station F de Chain Accelerator, « le premier accélérateur européen » dédié à l’accompagnement de start-up centrées sur la blockchain.
Crédit photo : l'équipe Simundia à Station F/Par Welcome the Jungle
« Négligence », « cupidité » : Alex Liu, le managing partner d’A.T. Kearney, n'y est pas allé de main morte lors d'un récent séjour à Sydney. Dans les colonnes de l'Australian financial review, il tacle sèchement la course à la croissance dans laquelle, selon lui, nombre des concurrents d'A.T. Kearney se seraient lancés au détriment de la qualité des services de conseil rendus. « Les plus gros cabinets se sont à ce point développés qu'ils ont perdu le lien avec l'un des présupposés de la fiabilité du métier de conseil », dit Alex Liu qui mentionne notamment « les solutions toutes faites » vendues à l'identique d'un client à l'autre.
A.T. Kearney inclus ? Réponse (évidemment) négative d'Alex Liu qui estime que le cabinet, avec ses 1,8 milliard de dollars de chiffre d'affaires et 300 partners dans le monde, demeure un challenger et se doit de faire la différence par l'impact de chacune de ses missions et une forte sélectivité de ses clients.
McKinsey a annoncé la nomination de trois nouveaux associés seniors, deux à Paris et un dans son bureau de Lyon. Sont promus à Paris : Hortense de La Boutetière, 41 ans, diplômé de l'École polytechnique en 1999 et d'un MBA de l'Insead en 2004, qui avait été nommée directrice associée de McKinsey à Paris en 2011 et Franck Laizet, 45 ans, diplômé de Rouen Business School (devenue Neoma) en 1997, entré chez McKinsey en 2008 après onze ans au sein du groupe Renault et devenu partner en 2013. Jean-Baptiste Pelletier, 44 ans, diplômé des Mines de Paris (1999), est par ailleurs nommé senior partner au bureau de Lyon – créé en 2008 et qui cumulait plus de 200 projets de transformation avec des entreprises régionales fin 2018.
Crédit photo : de gauche à droite, Franck Laizet et Hortense de La Boutetière.
Jean-Pierre Felenbok, consultant chez Bain & Company depuis 1981 après un diplôme des Ponts et Chaussées (1978), un master du MIT (1980) et un MBA de la Harvard Business School (1981), est nommé directeur général (managing partner) de la région Asie du Sud-Est. Il reste basé à Singapour pour exercer sa nouvelle fonction régionale.
Jean-Pierre Felenbok a contribué à fonder le bureau parisien de Bain en 1985 et en est devenu associé en 1987. Il a été responsable du pôle produits industriels et services pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique, avant de partir s’installer en Asie du Sud-Est où il a pris la direction du bureau de Jakarta.
En janvier, Domenico Azzarello, ancien managing partner du bureau de Paris, a pris les fonctions de directeur de la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA).
Crédit photo : Bain & Company Paris.
Cédric Oswald (Télécom Paris 1996) revient chez Roland Berger en tant que partner, après avoir quitté le cabinet en 2010 au rang de manager. Il avait alors rejoint la Direction générale de la modernisation de l'État puis Areva. Il a rejoint en janvier 2019 le centre de compétences aérospatial et défense du bureau parisien de Roland Berger.
Crédit photo : LinkedIn.
Jérôme Richard (CentraleSupelec 2002), ancien principal du Boston Consulting Group à Paris et New York (de 2002 à 2010), est nommé operating partner de la société d'investissement Wendel. Il est également passé chez Schneider Electric pour prendre des fonctions de direction opérationnelle et a été directeur général de John Paul, une entreprise de services de conciergerie vendue à Accor.
Crédit photo : LinkedIn.
Comme l'an dernier, Oliver Wyman organise à Paris une session de recrutement et de présentation du cabinet exclusivement dédiée aux étudiantes. Women at Oliver Wyman aura lieu mercredi 17 avril dans les locaux du cabinet (1, rue Euler 75008 Paris). Comme d'autres cabinets, Oliver Wyman fait le constat d'une nette amélioration de ses recrutements de consultants juniors mais paradoxalement d'une difficulté récurrente à conserver ses profils féminins. Oliver Wyman figure en queue du dernier classement Consultor des femmes associées dans les cabinets de conseil en stratégie.
Le cabinet a fait de la parité une priorité au niveau mondial. Ce dont cet événement parisien doit être une illustration. Objectif : continuer à maintenir un flux entrant important de profils féminins en bas de la pyramide pour féminiser toujours davantage les étages supérieurs de la hiérarchie.
La soirée du 17 avril présentera à 20 ou 30 étudiantes les fondamentaux du métier de consultants en stratégie et en quoi il est ouvert aux femmes. L'an dernier, l'événement avait donné lieu à plusieurs recrutements.
Le départ date d'il y a un mois et était passé inaperçu : mi-2018, Gwendoline Blandin-Roger (PhD de l'université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle), directrice associée senior chez McKinsey à Paris, a rejoint les rangs de Thalès en tant que vice-présidente en charge de la stratégie et du marketing. Elle avait rejoint McKinsey en 2001 après une première vie de chercheuse puis de consultante chez Accenture.
Crédit photo : LinkedIn.
Le Boston Consulting Group a publié le 28 mars 2019 quelques éléments de ses résultats en 2018. Le chiffre d'affaires ressort à 7,5 milliards de dollars en croissance de 19 % sur un an – au même rythme qu'en 2015.