
Le patron Monde de McKinsey sera désormais élu pour un mandat unique de 6 ans, avec un vote de confirmation des senior partners la quatrième année pour décider si le dirigeant doit achever son mandat.
Le patron Monde de McKinsey sera désormais élu pour un mandat unique de 6 ans, avec un vote de confirmation des senior partners la quatrième année pour décider si le dirigeant doit achever son mandat.
Deux hauts dirigeants du cabinet se retirent de leurs fonctions de direction, alors que l’ONG Save The Children et le Programme alimentaire mondial suspendent leurs partenariats historiques avec le cabinet ou songent à le faire.
Plus de 12 consultants ont travaillé sur la création et le déploiement de la très controversée Gaza Humanitarian Foundation. Ils ont aussi réalisé des modélisations financières de scénarios de reconstruction incluant le départ de 25 % de la population hors de Gaza.
La réponse de Siméo Pont, co-auteur de l’étude « La fabrique du risque. Les entreprises face à la doxa géopolitique » de l’IFRI.
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Déjà présent aux États-Unis, à Boston, depuis une dizaine d'années, via un partenariat avec le cabinet Alliance Consulting, Advancy franchit une étape de plus outre-Atlantique : le cabinet annonce l'ouverture d'un bureau en propre à New York dont la direction est confiée à Sylvestre Pires (Ph. D. de l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire en 2015), entré chez Advancy en 2015 et dont il est actuellement principal. Objectif de cette ouverture pour Advancy : se rapprocher de ses clients dans le private equity, secteur dans lequel il est très actif, notamment avec de nombreux fonds qui ont pignon sur rue dans la capitale économique américaine.
Crédit photo : Tim Klapdor New York Street Scene. Prise le 14 septembre 2008 CC BY-NC 2.0.
Ursula von der Leyen, ministre de la Défense allemande depuis 2013, a finalement été choisie par les chefs d'État européens mardi 2 juillet au terme d'une réunion reportée à plusieurs reprises pour présider la Commission européenne. Ce rebond est inattendu pour cette mère de sept enfants, longtemps présentée comme la dauphine d'Angela Merkel au sein du parti chrétien-démocrate allemand (CDU), dont le mandat ministériel lui a coûté un très lourd crédit politique outre-Rhin.
En cause notamment le recours à des consultants externes lors de sa direction du ministère. En septembre 2018, un signalement déposé auprès du parquet de Berlin reprochait au ministère d’avoir installé à demeure une « armée de consultants ». Un signalement qui a déclenché une enquête préliminaire du procureur de Berlin, selon des informations du Spiegel.
Pour son quatrième classement dans le label des entreprises où il fait bon débuter sa carrière, HappyAtWork for Starters, Kea & Partners prend le premier rang des dix entreprises récompensées pour l'excellence dans le management et la motivation des salariés de moins de 29 ans. Dans ce même classement figurent également Wavestone, Roland Berger ou Deloitte. Kea est par ailleurs classé au 38e rang du label HappyAtWork pour les entreprises de 100 à 199 salariés — quoique sur la base des seules réponses des consultants de moins de 29 ans. Figurent aussi dans ce classement Vertone (36e), Simon-Kucher & Partners (46e) et Exton Consulting (56e).
Crédit photo : dans les locaux de Kea à Malakoff. Consultor.
Roland Berger garde la première place du classement – qui ne concerne que les cabinets dont le siège est en Allemagne – des dix premières sociétés de conseil en stratégie et management, que publie annuellement depuis 1997 la société d'étude et de recherche allemande Lünendonk.
Avec 600 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2018 (contre 550 millions d'euros en 2017), Roland Berger devance Simon-Kucher & Partners (309 millions d'euros en 2018 contre 252 millions d'euros en 2017) dans ce top 10 des cabinets de conseil en stratégie et management qui ont leur siège en Allemagne.
Les autres marques classées incluent Detecon International, Horváth, Porsche Consulting... L'ensemble de ces dix cabinets voit la croissance de leur activité s'établir à + 9,5 % en 2018, un chiffre inférieur aux + 11,9 % escomptés en début d'année.
En incluant les résultats des cabinets internationaux également en activité en Allemagne (A.T. Kearney, AlixPartners, Bain & Company, Boston Consulting Group...), le marché du conseil en stratégie et management s'est établi à 9,1 milliards d'euros et pourrait croître de 10,3 % en 2019.
Crédit photo : mini_malist (need a break) Berlin_Mitte. Prise le 19 novembre 2014 CC BY-ND 2.0.
Georges Desvaux (CentraleSupelec 1983 et MIT 1985), senior partner chez McKinsey, dont il est un consultant depuis trente ans, rejoindra le comité de direction d'Axa le 1er septembre 2019, selon une information des Échos. C'est Thomas Buberl, lui-même ancien du BCG, qui l'a nommé à ce poste. Entré chez McKinsey en 1988 à Bruxelles, Georges Desvaux fut promu partner en 1995 puis senior partner en 2002. Il fut managing partner de McKinsey au Japon à Tokyo (de 2011 à 2016), puis managing partner pour l'Afrique depuis Johannesburg en Afrique du Sud (de 2016 à 2018) – en plein scandale de la mission décriée de McKinsey pour l'énergéticien Eskom – et, enfin, senior partner à Hong Kong.
Crédit photo : Georges Desvaux. LinkedIn.
Téléchargeable sur tous les smartphones gratuitement, GOV permet depuis sa création en 2013 de noter en direct la performance d'hommes politiques lors d'un débat, de se prononcer sur des questions de société telles que « pour ou contre le port de l'uniforme à l'école » comme d'établir la cote de popularité des différents candidats à l'élection présidentielle, selon Le Parisien. La société créée par Bobby Demri et Pierre-Alexandre Teulié vient d'être rachetée par le Boston Consulting Group. Bobby Demri rejoint le BCG en tant que directeur des solutions business.
Ce n'est pas tant la capacité que l'application a démontrée, via ses 100 000 utilisateurs, à anticiper mieux que des instituts de sondage la montée de certains hommes politiques, que l'activité également mise sur pied par GOV de développement d’applis et d’outils numériques en marque blanche pour les collectivités locales et les entreprises qui a intéressé le BCG. Renommée TUNED by BCG, cette solution numérique « va permettre de soutenir l’engagement des équipes dans les grands projets de transformation », souligne dans un communiqué cité par Le Figaro Ludger Kuebel-Sorger, associé senior au BCG.
En mars, le BCG implantait à Paris deux marques déjà déployées à l'international. BCG Digital Ventures, studio d’incubation et d’innovation de nouvelles activités en phase d'amorçage à destination des grands groupes internationaux, créé en 2014 aux États-Unis, est lancé en France.
C'est la troisième acquisition du BCG en 2019, après les rachats de l'Espagnol Kernel et de l'Australien The Simulation Group, selon le décompte de Consultor.
Crédit photo : Logo GOV.
François Rousseau (HEC 1986), 56 ans, est nommé associé chez OC&C. Il apporte une expertise dans l'industrie et les services BtoB et renforcera également les compétences M&A du cabinet, en matière de due diligence et de travail post-acquisition. Depuis 2004, François Rousseau était un associé de Bain & Company à Paris puis Johannesburg. Il était précédemment vice-président chez A.T. Kearney.
Mi-août 2017, l’aventure OC&C commencée par Philippe Kaas à Paris en 1989 était finie après qu'une cinquantaine de consultants du bureau parisien avaient rejoint EY.
La liquidation fut de courte durée. Le même jour, une société est établie à Paris et domiciliée place de l’Opéra : OC&C Paris renaissait de ses cendres. Trois associés étaient dépêchés avec l'objectif de recruter une vingtaine de consultants pour le redémarrage.
John S. Clarkeson, ancien CEO du Boston Consulting Group de 1985 à 1997, est décédé le 28 mai 2019.
Diplômé d’Harvard et d’un MBA de la Harvard Business School, il avait rejoint le BCG en 1966, trois ans après sa création par Bruce Henderson à Boston en 1963. Il en devint vice-président et director en 1975 avant de se voir confier les fonctions de CEO.
Sous sa direction, le cabinet se développa à l’international et vit passer ses effectifs de 500 à 3 000 personnes.
Après la fin de son mandat de CEO, il fut nommé en 1998 président du conseil d’administration du BCG puis président émérite du conseil d’administration en 2007.
Pianiste, collectionneur de voitures, il était aussi membre de l’advisory council de l’Insead.
John S. Clarkeson s'était rendu aussi fameux par quelques-unes de ses analyses sur les formes que prendraient les entreprises à l'avenir. À ses yeux, la créativité devrait y tenir une place prépondérante.
« La fonction critique d'une organisation aujourd'hui est sa fonction créative », déclarait-il par exemple. Ou, estimait-il encore en 1990, l'entreprise du futur aura beaucoup plus l'air d'un ensemble de jazz que d'un orchestre symphonique.
EgyptAir fait appel à Bain & Company pour un plan de retournement parti pour durer dix-huit mois. C’est ce qu’a confié Ahmed Adel, le CEO de la compagnie, à Forbes, confirmant une information antérieure déjà parue dans la presse égyptienne qui précisait que Bain avait emporté le contrat au détriment deux autres cabinets postulants. Cette mission pourrait aboutir à la fusion de plusieurs des filiales du groupe EgyptAir.
Olivier Maltese et Stéphane Loubère rejoignent Strategy& en tant que partners.
Olivier Maltese (MBA de l’International institute for management development de Lausanne en 2015), et ancien d’Accenture Strategy, de Deloitte et d’EY, accompagne les acteurs de l'aéronautique et de la défense, de l'industrie lourde et des services dans le cadre de leurs opérations de fusion-acquisition. Il affiche 70 deals à son actif pour le compte de grands corporates et fonds d'investissement.
Stéphane Loubère (École nationale supérieure d’arts et métiers 1995), un ancien consultant de Bossard-Gemini, de Weave, également passé par la Direction des constructions navales (DCNS renommée Naval Group), il accompagne au sein de Strategy& les directions générales et les directions opérationnelles d’entreprises industrielles sur leur stratégie 4.0 et l’amélioration de leur performance.
Neuf directrices et directeurs associés – le grade de principal maison – ont été nommés chez PMP (100 consultants à Paris) au premier semestre 2019.
Trois profils externes seniors d'abord. Au bureau de Bruxelles, Luc Rademakers (Insead 2011), ancien directeur des rédactions de la VRT, la radio-télévision publique flamande, rejoint PMP pour développer les activités du cabinet dans la zone Benelux.
À Montréal, Henri Dolino (HEC Montréal 2006), longtemps en charge de la stratégie du groupe financier coopératif Desjardins, monte également à bord.
Enfin, à Paris, Joël Plat (Sciences Po 1991), ancien directeur commercial d’Apple France (2013-2018), rejoint également PMP auprès des équipes digitales et expérience client.
Six autres nominations sont intervenues au même grade au premier semestre 2019.
Zakaria Chouaib (Télécom ParisTech 2007 et HEC 2007), présent chez PMP depuis 2009, est nommé directeur associé et sera en charge de la zone AME (Africa & Middle East) du cabinet.
Deux autres (en plus de Joël Plat) directeurs associés complètent les équipes digitales et expérience client : Maryne Guyot (Neoma 2007 et Inseec 2008), présente chez PMP depuis 2016 après une première vie dans le conseil chez Velvet Consulting ; Mathilde Tignon (Edhec 2010), ancienne de Capgemini et présente chez PMP depuis 2013.
Au pôle télécommunications, Grégory Pilod (Télécom ParisTech 2003, chez PMP depuis 2009) et Denis Lafarge (Télécom ParisTech 2012, chez PMP depuis janvier 2013) sont promus.
Enfin, Lionel Chapelet (ENS Cachan 2009, chez PMP depuis 2012) est promu directeur de la division transport, mobilité et tourisme.
Crédit photo : tournage dans les locaux de PMP par Consultor.fr
Pierre-Antoine Bodin (Paris Dauphine 2001 et EM Lyon 2004) est nommé partner de la practice industrie pharmaceutique et santé de Roland Berger à Paris à l'occasion d'un partners leadership camp (réunion des partners) organisé à Berlin début juin – c'est également à cette date que Charles–Édouard Bouée a annoncé son départ. Pierre-Antoine Bodin a rejoint Roland Berger en 2012 après une première vie professionnelle chez Pfizer puis chez Johnson & Johnson.
Crédit photo : Pierre-Antoine Bodin, LinkedIn.
C'est la mesure annuelle de référence des investissements publicitaires dans le digital (display et search) en France : l'Observatoire de l'e-pub est publié chaque année par le Syndicat des régies Internet (SRI) et l'Union des entreprises de conseil et d'achat média (Udecam). Depuis 2009, sa réalisation était déléguée à PwC. À l'issue d'un appel d'offres, ce marché reviendra désormais à Oliver Wyman.
« Nous attendons beaucoup de leur expertise sur la méthodologie de l’Observatoire et sur les tendances clés du secteur de la publicité digitale », explique Sylvia Tassan Toffola, la présidente du SRI.
La 21e et dernière édition de cet observatoire montrait que, sur l'ensemble de l'année 2018, les investissements publicitaires digitaux en France, en hausse de 17 %, ont permis au marché d'atteindre un chiffre d'affaires net de 4,876 milliards d'euros.
Crédit photo : Dernière édition de l'Observatoire de l'e-pub. SRI.
C'est l'un des changements managériaux annoncés par le CEO d'Uber Dara Khosrowshahi un mois après l'entrée en Bourse de l'entreprise : une fonction de stratégie de développement d'Uber est créée et confiée à une ancienne partner américaine du Boston Consulting Group.
Zhenya Lindgardt, diplômée d'un MBA de la Harvard Business School en 1999, senior partner et managing director du BCG à New York, prend les fonctions de la Platform Strategy & Customer Engagement, après avoir rejoint Uber en avril dernier.
« Son rôle consistera à veiller que notre plateforme réalise son plein potentiel et à inciter les clients à s'engager sur l'ensemble de notre gamme de produits », a détaillé Dara Khosrowshahi dans un mail aux collaborateurs d'Uber.
Crédit source : Zhenya Lindgardt. Uber.
Changement de génération à la tête du géant indien de l'IT Wipro (Western India Oil Processing Limited) à la faveur d'un ancien de Bain & Company.
Azim Premji, qui dirigeait depuis cinq décennies le groupe aux neuf milliards de dollars de chiffre d'affaires, passera la main à son fils le 30 juillet, a annoncé le groupe dans un communiqué relayé par la presse indienne.
Rishad Premji, 42 ans, prendra alors les fonctions de président exécutif. Rishad Premji a rejoint Wipro en 2007 en tant que manager. Il était ensuite devenu chief strategy officer de Wipro.
Avant de rejoindre Wipro, Rishad Premji a été consultant pour Bain & Company au bureau de Londres où il a travaillé dans les practices biens de consommation, automobile, télécoms et assurance. Il est diplômé d'un MBA de la Harvard Business School.
Crédit photo : Wipro.
Christina Böck (HEC Paris 1994, université de Münster 1992) est nommée partner chez Indefi. De nationalité allemande, elle sera domiciliée à Zurich et sera chargée du développement des activités du cabinet de conseil spécialisé, en stratégie, pour le compte d’Asset Managers et de fonds de private equity, dans la région Allemagne-Autriche-Suisse. Christina Böck est l'ancienne directrice de l'investissement (chief investment officer) et managing director de Profond, le fonds de pension suisse. Elle a longtemps occupé des fonctions chez Axa Investment Managers à Paris et à Zurich.
Crédit photo :
Christina Böck. LinkedIn.
Bruno Taborin (Mines de Paris 2003, 38 ans), entré chez Kea en 2004, et Sandra Bertholom (université de Rennes 1998, MBA Kalmar 1999, 42 ans), arrivée en 2007, sont nommés seniors partners chez Kea. Tous les deux contribuent au développement du secteur industrie. Trois managers sont également promus directeurs : Claire de Colombel (HEC 2008, practice transformation, organisation et management), Clément Artiguebieille (Mines de Saint-Étiennes, secteur services) et Igor Chaine (EM Lyon 2009, secteurs grande consommation & distribution).
Crédit photo : Bruno Taborin et Sandra Bertholom. Kea et LinkedIn.
Charles-Édouard Bouée, CEO monde de Roland Berger vient d'annoncer sur les réseaux sociaux son départ du cabinet de conseil après 18 ans de service en tant que Partner pour 'commencer une nouvelle aventure'.
Aprés 25 ans dans le conseil en stratégie chez A.T. Kearney (de 1997 à 2001 en tant que vice-président) puis chez Roland Berger, rejoint en tant que Senior Partner en 2001, il annonce le démarrage d'une nouvelle carrière d'entrepreneur. Dans un communiqué sur son départ annoncé lors de la réunion semestrielle des partners, le cabinet de conseil indique qu'il mettra à profit 'son expérience et son réseau dans les domaines de l'innovation, des technologies disruptives et de l'intelligence artificielle'.
C'est un départ surprise du tout récent cinquantenaire qui avait été réélu en juin 2018 pour un mandat de quatre ans à la tête du cabinet de conseil en stratégie d'origine allemande dont il était devenu le premier CEO non allemand en 2014.
Le management du cabinet est confié (en attendant une nouvelle élection?) à une équipe de cinq partners couvrant les différentes practices et régions : Tijo Collot d‘Escury (Managing Partner Pays-Bas), Sascha Haghani (CEO Allemagne et DACH - Allemagne, Autriche et Suisse), Satoshi Nagashima (Managing Partner Japon), Olivier de Panafieu (co-Managing Partner France) et Stefan Schaible (Deputy CEO Roland Berger et CEO Allemagne et Europe Centrale).
Ylios retente la carte internationale. Un temps établi en Grèce et dans les Balkans au début des années 2000, où l'activité avait ensuite été fermée, Ylios s'apprête à rouvrir des bureaux internationaux. Le cabinet de conseil en stratégie de la rue Vernet, à deux pas de la place de l'Étoile à Paris, a identifié le continent africain comme relais de croissance. Il officialisera en septembre l'ouverture de deux bureaux, un au Maroc et un au Sénégal — sauf modification de destination de dernière minute. Chacun sera confié à un partner qui devra développer l'activité du cabinet dans le pays. Le cabinet compte pour l'heure six associés et vingt-sept consultants domiciliés à Paris.
Crédit photo : Vue de Dakar, prise en 2012 par Jennifer wu CC BY 2.0.
La facture s'alourdit. Selon les chiffres comptabilisés par le National Audit Office, et révélées par The Guardian, les ministères britanniques cumulent 100 millions de livres sterling de dépenses de conseil en lien avec la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE). Une somme qui pourrait être portée à 240 millions de livres en 2020, quatre ans après le vote en faveur du « leave ».