
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Lors de la finale de l’Accuracy Business Cup 2025, 27 étudiants représentant 9 pays ont relevé le défi stratégique et financier posé par Danone et Accuracy à Paris. Débrief avec le partner en charge de la compétition, deux équipes de candidats et des membres du comex du géant français de l’agroalimentaire.
Les consultants remplacés par l’IA ? On en parle depuis le lancement de ChatGPT fin 2022, ou presque. Xavier AI et son CEO-cofondateur, Joao Filipe, annoncent l’avoir fait.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Sur le site du BCG, la page « Diversity, Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024. Chantre de la DEI et de son conseil dédié, le cabinet pourrait-il y renoncer ?
Catherine Joly, ex-secrétaire générale et DRH du Monde, ex-présidente du directoire du Nouvel Observateur, arrive au sein de la firme de conseil Chappuis Halder en tant que global chief operating officer. Elle est basée à New York depuis le 1er avril où elle est chargée des ressources humaines, des opérations et des systèmes d’information. Elle travaille en lien direct avec le CEO et en collaboration constante avec les associés.
Catherine Joly, aujourd’hui 43 ans, est diplômée de HEC en 1997. Elle a commencé sa carrière dans le conseil en management à Londres et à Paris, accumulant une expérience de quinze ans au sein d’Accenture, d’Ernst&Young, d’Altedia et d’Alixio. Ces cinq dernières années, elle a activement participé à la transformation digitale du groupe Le Monde en tant que secrétaire générale et DRH, puis comme présidente du directoire du groupe Le Nouvel Observateur.
La société d’investissement Raise et Bain & Company lancent la deuxième édition de David avec Goliath, le prix de la plus belle alliance entre une jeune et une grande entreprise. Remporté l’année dernière par Phenix, qui aide les entreprises à réduire leurs gaspillages, et Carrefour, ce prix récompense la relation la plus créatrice de valeur et les meilleures pratiques mises en œuvre en France dans la collaboration entre une jeune et une grande entreprise.
La jeune entreprise victorieuse se voit allouer un prêt d’honneur de 100 000 euros à taux zéro sans aucune garantie financé par Raise et un accompagnement de six mois sur sa stratégie dispensé par Bain & Company.
Les jeunes entreprises françaises de plus de dix-huit mois d’existence, ayant plus de 250 000 euros de chiffre d’affaires sur le dernier exercice ou plus de 500 000 euros envisagés pour l’exercice en cours et faisant état d’une collaboration fructueuse avec une grande entreprise de plus de 1,5 milliard euros de chiffre d’affaires ou plus de 5 000 salariés, peuvent postuler en ligne jusqu’au 31 juillet 2018.
Un jury, composé de dix grands patrons et d’entrepreneurs, sélectionnera trois alliances de jeunes et de grandes entreprises. Les finalistes devront défendre la valeur créée grâce à leur alliance afin que le jury les départage et désigne le duo gagnant sur des critères quantitatifs (chiffre d’affaires, emplois créés, développement du produit/service) et qualitatifs (bonnes pratiques partagées, transformation de l’organisation et du modèle opérationnel). Les finalistes seront invités pour la remise du prix au mois de novembre prochain.
Eleven, Le cabinet parisien spécialiste des sujets digitaux accélère à Londres.
Eric Turpin, DSI adjoint d'Areva, devient DSI d'ISS, spécialiste de l'externalisation des services généraux. Depuis près de quinze ans dans le groupe Areva, Eric Turpin a évolué comme consultant chez A.T Kearney, de 1997 à 2000, jusqu’au grade de senior manager. Eric Turpin est détenteur d'un MBA de l'Ipésup à Paris et d'un MBA de l'Indiana University.
Selon une information de Challenges, Eric Labaye, ancien directeur du bureau de Paris de McKinsey et actuel Senior Partner, est pressenti pour le poste de Président de l'École polytechnique. Il figure en favori au sein d'une short-list de quatre personnes pour la nomination qui devrait être décidée lors d'un prochain conseil des ministres le 6 ou le 11 juillet.
Après être passé à deux doigts d'obtenir la direction générale de l'ESSEC en mars dernier, il rebondirait ainsi rapidement à la tête d'une école dont il a été diplômé en 1983. A voir si cette nomination aura un impact sur la culture d'une institution qui s'enorgueillissait il y a quelques années dans nos colonnes de ne pas enseigner la stratégie d'entreprise.
Le fort développement de McKinsey dans le secteur public est le fil d’une longue enquête publiée mercredi 27 juin par le New York Times. Le cabinet de conseil en stratégie s’est ainsi depuis plus d’une décennie fortement développé dans le secteur,qui représente désormais 16% de son chiffre d’affaires selon les données communiquées par 16 actuels et anciens partners au quotidien américain.
Dans cette enquête très documentée, l'auteur explique les déboires de McKinsey en Afrique du Sud dans l'affaire Eskom par son tropisme public et par la mauvaise évaluation du risque, notamment politique, dans la signature de ce contrat qui s'avère illégal. Le quotidien retrace ainsi l'enchainement de faits et qui a amené à ce scandale.
Dans une lettre aux autorités de contrôle, évoquée par Les Échos, des cadres dénoncent une dérive dans la gestion de la banque néerlandaise. Ils craignent qu’ABN Amro ne devienne une proie facile du fait d’une absence de stratégie. Des sources internes citées par la presse locale indiquent par ailleurs que la banque est depuis des mois en quête d’une réorientation stratégique qui se fait attendre. Le BCG a été missionné pour évaluer l’incidence des nouvelles normes prudentielles bancaires sur le rendement des activités de la banque d’affaires. Un autre enjeu concernerait la stratégie à adopter pour regagner des parts de marché à l’international.
C’est une information de La Lettre de l’Expansion. Les sociétés de courses viennent d’obtenir l’appui de l’État sur un desserrement des contraintes fiscales et un rééquilibrage de la concurrence avec la Française des jeux. Mais l’Élysée a fixé comme condition la mise en place d’un plan d’économies pour l’organisation des courses en France, à même de dégager de nouvelles ressources pour la filière (éleveurs, centres d’entraînement…). Le projet de regroupement des différentes institutions des courses, le PMU, France Galop et Le Trot, a été relancé. Le cabinet McKinsey a de nouveau été mandaté pour chiffrer les économies selon les différentes options et établir un plan à cinq ans. Objectif : aboutir à une seule entité commerciale réunissant les jeux, la vidéo, la data et les hippodromes, sous le contrôle (commissaires de course, antidopage…) des deux filières. Et économiser ainsi entre 5 % et 10 % des 600 millions d’euros annuels dépensés par la filière des courses.
La spécialiste du retournement des entreprises en difficulté, Helen Lee Bouygues, a mis un terme l’été dernier à ses fonctions de partner chez McKinsey à Paris. Son activité, HLB Partners, avait été absorbée par le géant américain à Paris en janvier 2014. Helen Lee Bouygues avait alors été placée à la tête de la division française de RTS, McKinsey Recovery & Transformation. Mais, mi-2017, Helen Lee Bouygues a repris son indépendance, chez LB Associés. Sollicitée, elle ne souhaite pas préciser à Consultor les raisons de ce départ. En avril 2018, Philippe Dume, un ancien consultant de McKinsey parti dans l’industrie chez Alstom de 2008 à 2018, a pris les fonctions de vice-président senior de RTS à Paris.
Yara Chakhtoura vient d’être nommée directrice générale de Vattenfall éolien en France. Elle prend ainsi la tête du développement des activités énergies renouvelables du groupe énergétique suédois, notamment l’éolien en mer. Avec onze parcs en exploitation dans cinq pays et deux en construction, Vattenfall, détenu à 100 % par l’État suédois, prétend au rang de 2e acteur mondial dans l’éolien offshore derrière le leader danois Ørsted. Yara Chakhtoura est une ancienne consultante de L.E.K (jusqu'en 2010) où elle a passé trois ans entre Paris et Sydney avant d’intégrer Areva. Yara Chakhtoura est diplômée de Centrale Paris et de l'Université d'Oxford.
Le Department for Exiting the European Union, mis sur pied par le gouvernement britannique pour superviser la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, avait déjà fait appel à McKinsey. Au tour du BCG à présent à qui le même département a confié une mission de cinq mois au premier semestre.
Zineb Mekouar, ancienne chargée de mission au porte-parolat d’Emmanuel Macron, a rejoint le conseil à l’issue de la campagne présidentielle, comme le notait récemment la publication confidentielle La Lettre A. Elle est à présent consultante chez A.T. Kearney à Paris. Zineb Mekouar est diplômé d'HEC (2016) et de Sciences Po (2015).
Charles-Edouard Bouée a été réélu largement (94% des votes) Président-directeur général de Roland Berger par les 220 associés du cabinet lors de leur réunion semestrielle à Münich. L’allemand Stefan Schaible est lui reconduit au poste de Directeur général adjoint.
Le français de 49 ans, diplômé de Centrale Paris et d'un MBA de la Harvard Business School, part donc pour un deuxième mandat de quatre ans à la tête du cabinet de conseil en stratégie d'origine allemande qu'il avait rejoint en 2001 au poste de Senior Partner en provenance d'A.T. Kearney.
Sa feuille de route :'savoir construire une organisation réactive et flexible capable d'exploiter le potentiel et les opportunités offertes par les technologies numériques' en misant notament sur l'écosystème Terra Numerata qui traduit la capacité spécifique du cabinet de conseil 'à penser et agir en partenariat'.
La réunion a également vu l'élection de 17 nouveaux associés.
Finja Carolin Kütz quitte ses fonctions de managing director Allemagne et Autriche d’Oliver Wyman. Elle devient Group Chief Transformation Officer chez Unicredit, où elle s’occupait en tant que consultante du déploiement d’un plan de transformation depuis 2016. Elle avait intégré Oliver Wyman en Allemagne en 1997 et avait dirigé le bureau munichois de 2004 à 2010, avant de prendre la direction de la practice services financiers en Allemagne et en Suisse. Elle avait été nommée à la tête d’Oliver Wyman pour l’Allemagne et l’Autriche en septembre 2015.
EASE, l’usine-école rattachée à l’université de Strasbourg dédiée à la formation à la production en atmosphère contrôlée (comprimés, gélules, liquides stériles…), devient le démonstrateur du BCG pour la filière pharma. Le partenariat traitera plus particulièrement les défis rencontrés par les opérationnels de l’industrie pharmaceutique avec pour objectif d’apporter des solutions innovantes pour la qualité, la traçabilité, la flexibilité, l’ergonomie et la productivité, selon Moundir Rachidi, directeur des activités opérations en France au BCG. L’intégration des technologies de l’industrie 4.0 – notamment la robotique avancée, la data analytic, l’intelligence artificielle, la réalité augmentée, l’internet industriel et les plateformes de simulation – permet d’envisager une augmentation de la productivité de 15 à 20 % tout en améliorant la flexibilité et la qualité des sites industriels. C’est une nouvelle étape dans l’investissement du BCG sur les sujets de l’industrie 4.0 après l’ouverture de différents Innovation Centers for Operations et notamment celui de Saclay.
Fin juin à Paris, la centaine d’associés que compte SKP dans le monde se réunira à l’Hôtel des Collectionneurs dans le 8e arrondissement de Paris, à l’occasion de son assemblée générale des actionnaires.
Depuis janvier 2017, le cabinet de conseil spécialiste des stratégies de croissance a réorganisé ses bureaux en cinq zones opérationnelles.
À l’Allemagne, le pays de naissance du cabinet, sont adjoints l’Europe du Nord et l’Italie. La France dirige la zone dans laquelle figurent également la Belgique, la Turquie, l’Europe de l’Est et l’Asie. Viennent ensuite l’Amérique du Nord ; les Pays-Bas et l’Angleterre ; et enfin, l’Espagne, le Portugal et l’Amérique latine.
Au premier trimestre de cette année, Simon-Kucher a annoncé que son activité a dépassé pour la première fois depuis sa création en 1985 les 300 millions de dollars de chiffre d’affaires au niveau mondial.
Cette performance est notamment portée par la forte demande sur le sujet de la numérisation dans les secteurs des médias, de la banque et des services financiers ou des biens de grande consommation. Dont environ 10 % sont réalisés par le bureau de Paris.
Enfin, deux nouveaux bureaux ont été ouverts depuis le début de l'année : celui de Chicago vient renforcer la présence du cabinet aux États-Unis, et celui du Caire permet à Simon-Kucher de s'implanter sur le sol africain pour soutenir l'activité de ses bureaux de Dubaï et Istanbul, portant sa présence à 36 bureaux, répartis dans 24 pays.
Eight Advisory, spécialiste du conseil financier et opérationnel, vient de nommer un ancien de chez McKinsey (engagement manager de 1999 à 2006 à Londres et Paris) comme associé du cabinet au sein du pôle transformation. Jean Guillou sera un des interlocuteurs des offres de due diligence opérationnelle, de diagnostic et transformation opérationnelle. Diplômé de l’École nationale supérieure des arts et métiers, Jean Guillou a démarré sa carrière chez Thalès Activités Spatiales avant de rejoindre le cabinet McKinsey à Londres puis à Paris. Il a ensuite été nommé directeur industriel du Groupe Roullier, puis du Groupe Anovo avant de rejoindre le Cabinet Alvarez & Marsal à Paris.
Mars & Co se réorganise. Au premier semestre 2018, un directeur des opérations et du développement a été nommé dans chacune des zones d’activité : Fabien Jacquot, un des sept vice-présidents français, prend la tête de l’Europe, Mike Turner pour les États-Unis et Tatsuya Kawase en Asie. Filippo Ciarletti, un autre des vice-présidents basés à Paris, prend lui un siège de chief technical officer.
À la veille du Salon Vivatech, Emmanuel Macron recevait mardi 22 mai une cinquantaine de chefs d’entreprise. La liste est longue : Jean-Paul Agon (PDG, L’Oréal), Angela Ahrendts (senior vice-présidente Retail, Apple), Audrey Azoulay (directrice générale de l’Unesco), Mitchell Baker (présidente, fondation Mozilla), Sunil Bharti Mittal (président, Bharti Entreprises), Jean-Laurent Bonnafé (PDG, BNP Paribas), Nick Bostrom (directeur futur, Humanity Institute), Olivier Brandicourt (PDG, Sanofi), Thomas Buberl (PDG, Axa), Stewart Butterfield (PDG, Slack)… McKinsey a réussi le tour de force d’être le seul cabinet de conseil en stratégie représenté et a fortiori de dépêcher deux représentants : Éric Hazan (directeur associé senior en France, Mckinsey) et Kevin Sneader, le nouveau patron mondial de McKinsey.
Vinciane Beauchene, Johanna Benesty et Charles-Antoine Wallaert sont nommés directeurs associés du BCG à Paris.
Vinciane Beauchene est spécialiste des questions de leadership et gestion du changement. Elle a rejoint le BCG en 2008 après trois ans chez Mercer en tant que Project Manager. Vinciane Beauchene est diplômée de HEC (2005) et de la London School of Economics (2005).
Johanna Benesty a rejoint le BCG en 2007. Membre active des centres d’expertise santé et « social impact », Johanna Benesty a travaillé sur des projets de transformation d’envergure internationale pour des entreprises du secteur pharmaceutique, notamment sur leurs activités de santé grand public et les problématiques data et digital. Elle est également impliquée dans des programmes mondiaux de santé publique en partenariat avec des organisations internationales (OMS, ONU, Fonds Mondial de lutte contre le Sida etc.) Johanna Benesty est diplômée de l’ESCP Europe (2007) et de l'université de Tel Aviv (2007).
Charles-Antoine Wallaert a rejoint le BCG en 2012. Il spécialisé sur l’Assurance et les institutions financières. Il est expert en transformation data et digitale. Avant de rejoindre le BCG, Charles-Antoine était directeur d'investissement chez Gilde Buy Out Partners. Il a commencé sa carrière comme manager d'usine chez Rio Tinto. Charles-Antoine est diplomé de CentraleSupelec (1999) et de Sciences Po (2001).