
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Sur le site du BCG, la page « Diversity, Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024. Chantre de la DEI et de son conseil dédié, le cabinet pourrait-il y renoncer ?
Booz Allen, Accenture, Deloitte, KPMG : les renoncements aux politiques de diversité-équité-inclusion (DEI) se sont succédé en février 2025. Quel impact pour les cabinets de conseil en strat’ ?
Après l’annonce d’Accenture qui renonce à ses « objectifs de DEI », le patron Monde de McKinsey réaffirme son engagement en faveur de la diversité tout en jouant sur les mots.
Dès le lendemain de son investiture du 20 janvier 2025, le 47e président des États-Unis d’Amérique a annoncé que les pays européens (tout comme la Chine, le Canada et le Mexique) pourraient être soumis à des droits de douane, déclarant ainsi : « L’Union européenne est très mauvaise pour nous. Ils nous traitent très mal. Ils ne prennent pas nos voitures ou nos produits agricoles. En fait, ils ne prennent pas grand-chose, donc ils sont bons pour nos droits de douane. »
Arnaud Gangloff, PDG de Kea & Partners, a été élu membre du CA de la Communauté des entreprises à mission qui vient de nommer son premier conseil d’administration.
C’est une enquête impitoyable de Mediapart, datant de décembre dernier (ici), qui a poussé la fondation Le Refuge à faire réaliser un audit interne à un cabinet de conseil en strat’.
Le rôle du Boston Consulting Group (BCG), de PWC ainsi que celui de McKinsey est mis en cause d’après de nouveaux documents issus des « Luanda Leaks ».
Le processus électoral se poursuit (cf. notre article d'hier) pour désigner le nouveau directeur monde de McKinsey. Mais selon les informations du Financial Times, ils ne sont plus que deux en lice et il est déjà certain que le mandat du sortant, Kevin Sneader, ne sera pas renouvelé. Les associés ont ainsi décidé de tourner la page des scandales des trois dernières années pour lesquels ils ont collectivement payé les différentes ardoises.
Un cinglant désaveu qui étonne un certain nombre de McK et d’alumni ; Sneader, CEO depuis trois ans, pas encore en fonction sur les missions qui font la une de la presse internationale aujourd’hui, a affiché une volonté de transparence, d’éthique, de supervision globale et de résolution des affaires (début février, le cabinet a accepté de payer 574 M$ pour régler le scandale des opioïdes, voir ici).
C’est aussi la fin de l’aventure pour le Franco-Iranien, Homayoun Hatami, patron du bureau de Paris, qui figurait dans le top 10 des prétendants (ici). Sur la liste finale de dix candidats ne reste donc aujourd’hui plus que deux candidats, l’Américain Bob Sternfels, senior partner au bureau de San Francisco, et le Néerlandais, Sven Smit, basé à Amsterdam.
Bob Sternfels, diplômé de Stanford et d’Oxford, est consultant chez McKinsey depuis vingt-six ans où il dirige le pôle mondial client capabilities. Il est membre du conseil des actionnaires de McKinsey (son conseil de gouvernance mondiale) et de l’équipe de direction. Bob Sternfels était le finaliste face à Sneader lors du dernier tour en 2018 pour succéder à Dominic Barton à la tête du cabinet.
L’ingénieur Sven Smit, diplômé de la Delft University of Technology néerlandaise et de l’INSEAD, est entré chez McKinsey en 1990, où il est coprésident de McKinsey Global Institute (MGI), la branche de recherche commerciale et économique de McKinsey, et est membre du conseil des actionnaires de McKinsey. Dans le Financial Times, il est décrit par un ancien associé comme « l'un des leaders d’opinion les plus puissants de McKinsey » et un « stratège classique de McKinsey de la vieille école ».
Vote final cette semaine ou début de semaine prochaine.
Crédit photo : Kevin Sneader, managing partner de McKinsey. Fortune Brainstorm Reinvent 2018 003 Monday, September 24, 2018 Fortune Brainstorm Reinvent Chicago, IL, USACC BY-NC-ND 2.0
Premier ministre italien depuis le 13 février, Mario Draghi, ancien président de la Banque centrale européenne, vient de constituer son gouvernement. Il a nommé, à la tête du nouveau ministère de l’Innovation technologique et de la Transition numérique, Vittorio Colao, 60 ans.
Les 650 seniors partners de McKinsey & Company à travers le monde sont en train de voter pour élire le n° 1 du cabinet pour les trois ans à venir.
À 39 ans, le Français Ugo Valensi, consultant média au bureau parisien de Kearney entre 2009 et 2011, vient d’être nommé directeur exécutif du conseil du Grand Chelem, l’organe représentant les quatre tournois majeurs du tennis mondial : l’Open d’Australie, Roland-Garros, Wimbledon et l’US Open.
Omar Abdulaziz, un activiste saoudien en exil à Montréal, a attaqué McKinsey devant la Cour Suprême de New York en début de semaine.
L’agence en stratégie et innovation YouMeO, créée en 2014 par deux consultants de PMP, Martin Mayer, management consultant, et Raphaël Beziz, manager, vient d’entrer dans le giron de BearingPoint, cabinet de conseil en management et technologies, comptant 4 600 salariés et réalisant un chiffre d’affaires annuel de 781 M€.
McKinsey appuie sur l’accélérateur dans le digital en Australie. Soucieux de renforcer les équipes de McKinsey Digital sur place, le cabinet américain vient de racheter coup sur coup deux agences en Australie : Hypothesis et Venturetec.
Décidément, la loi Climat ne cesse de faire polémique et le navire exécutif est en train de connaître le déchaînement des éléments pour la deuxième fois en quelques semaines.
Florence Benoit-Moreau, consultante au Boston Consulting Group entre 1999 et 2001, docteure en sciences de gestion, maître de conférences à l’université Paris-Dauphine-PSL (Paris Sciences et Lettres) depuis plus de dix ans, est depuis le 1er février, VP, vie étudiante et responsabilité sociale de l’université PSL.
Jean-Charles Brandely, 43 ans, sept ans au total comme consultant chez Oliver Wyman et Bain & Company, expert en marketing digital, vient d’être nommé CEO de l’École Française, entreprise de formation en ligne pour adultes créée il y a dix ans.
Matthias Loebich a été élu pour deux ans président de la FEACO, Fédération européenne des associations de conseil en organisation.
Monitor Deloitte Paris lance son concours de stratégie, le Monitor Deloitte Challenge. Pour cette cinquième édition, Monitor Deloitte choisit le thème du développement durable et de l’économie circulaire en s’associant à la start-up française Murfy, un acteur-clé de la réparation d’appareils électroménagers à domicile.
Cette start-up française, accompagnée par le fond d’investissement Investir&+, spécialisé dans les projets à fort impact social ou environnemental, ambitionne de réduire la quantité de déchets électroménagers.
C’est l’opportunité pour les participants de travailler en équipe sur une véritable étude de cas, de bénéficier de conseils des consultants du cabinet et de présenter leurs travaux au senior management de Monitor Deloitte et de Murfy.
Le concours prendra la forme de deux tours nationaux et d’une finale internationale, lors de laquelle s’affrontera l’ensemble des équipes gagnantes.
Calendrier du concours
Plus d’informations sur : www2.deloitte.com/monitor-challenge.
Nicolas Martin, consultant expert en industrie agroalimentaire, rejoint aujourd’hui la practice marques & enseignes de Kea & Partners, en qualité de senior partner, en appui des secteurs distribution et grande consommation (50 % de l’activité du cabinet).
L'information sort plusieurs mois après la mission pro bono conduite par Bain and Company pour le compte du ministère de la Santé au démarrage de la campagne de tests covid (relire nos articles ici et là), comme l'évoque Politico dans un article paru lundi 8 février.
Soutenir la numérisation des secteurs traditionnels de l’économie, comme l’artisanat et le commerce, faire émerger une économie de l’innovation en finançant les investissements des start-up qui leur permettront d’acquérir une taille internationale, faciliter l'entrepreneuriat, adapter les niveaux de qualification : telles étaient quelques-unes des priorités du projet de loi Nouvelles Opportunités économiques, dite « loi Macron 2 » (après celle votée le 6 août 2015 sur la croissance et l'activité) présentée par Emmanuel Macron, alors ministre de l'Économie, le 10 novembre 2015. Les propositions de la loi seront finalement portées dans d'autres textes de loi et la « loi Macron 2 » enterrée.
Politico a appris que la rédaction de ce projet de loi avait été établie avec le concours de McKinsey, selon des e-mails internes de 2015 échangés entre personnes impliquées dans le dossier.