
Que le conseil en strat’ soit l’un des viviers des cabinets ministériels n’est pas un secret. Quelles sont les différences et similitudes fondamentales de ces deux métiers – en matière d’approche, de delivery et de compétences ?
Que le conseil en strat’ soit l’un des viviers des cabinets ministériels n’est pas un secret. Quelles sont les différences et similitudes fondamentales de ces deux métiers – en matière d’approche, de delivery et de compétences ?
Pour Talan, l’acquisition de Nova constitue « la première pierre » du déploiement dans le conseil en strat’ du cabinet de conseil et transformation par la tech, selon son VP exécutif Nicolas Récapet interrogé par Consultor.
Positionné sur « la révolution de l’IA », eleven a vu son partnership doubler en un an alors que le secteur fait grise mine. Consultor a rencontré l’un de ses deux managing partners, Ambroise Huret.
En décembre 2024, le géant Blackstone a pris une participation minoritaire de 250 millions d’euros dans Sia – un mouvement loin d’être unique. Quels sont les intérêts réciproques des cabinets de conseil et des fonds ?
En 2025, les cabinets de conseil en strat’ ont 2 points d’avance sur le score moyen obtenu à l’Index, tous secteurs confondus. Mais ils font du sur-place par rapport à 2024.
Grille d’évaluation dédiée à l’impact des missions, choix de fournisseurs favorisant les personnes handicapées... : les cabinets de conseil multiplient les initiatives de RSE (responsabilité sociale des entreprises), sur un sujet où les entreprises de manière générale affichent plus qu’elles ne font réellement.
Kearney annonce lundi 6 septembre la promotion de trois nouveaux partners au bureau de Paris. Avec ces promotions, l'effectif du partnership parisien passe à vingt-huit personnes selon le décompte de Consultor.
Hortense de la Boutetière, vingt et une années de maison chez McKinsey, a quitté « sans bruit » le cabinet parisien, la deuxième femme senior partner est partie du cabinet en quelques semaines.
Jean Berg, le vice-président exécutif chez Estin & Co qui y était en activité depuis 1997, dont le départ avait été annoncé en mars 2021, comme Consultor l'indiquait alors, vient d'officialiser la création de sa propre boutique Strategia Partners. La quasi totalité des 11 profils LinkedIn qui indiquent collaborer avec le nouveau cabinet sont issus d'Estin & Co.
C’est une nouvelle affaire à rebondissements entre le cabinet et un ancien consultant qui prend fin après six années de procédure.
Le partnership mondial s’étoffe chez Roland Berger, avec la nomination de dix-sept nouveaux associés dans le monde, dont deux en France : Axelle Lemaire pleinement promue partner et Baptiste Maisonnier, associé energy & utility, arrivé dans ce cabinet depuis bientôt onze années, après une expérience au BCG entre 2005 et 2011.
Trois ans après son arrivée en tant que partner chez Roland Berger pour diriger les activités de Terra Numerata, la plateforme que le cabinet a mis sur pied en France fin 2014 et qui concentre son offre numérique, Axelle Lemaire, secrétaire d’État en charge du numérique et de l’innovation de 2014 à 2017, a de nouveau été promue partner lors de la dernière réunion mondiale des partners tenue en juillet à Munich, a fait savoir le cabinet dans un communiqué le 13 juillet.
Bain and Company Paris, société en nom collectif au capital de 50 millions d’euros (divisés en 50 000 parts sociales), a doublé son capital pour le porter à 105 millions d’euros, lors d’une assemblée générale extraordinaire réunie le 29 décembre 2020.
Donner un avant-goût de l’entreprise aux 13-25 ans. Telle est la vocation d’Entreprendre pour apprendre (EPA), une fédération d’associations accompagnée par le cabinet Monitor Deloitte en début d’année dans le cadre d’un mécénat de compétences.
Avec pour défi un changement d’échelle : passer de 40 000 à 100 000 jeunes « mentorés » d’ici 2023. Ambitieux mais pas irréaliste.
La féminisation des gouvernances des cabinets de conseil en stratégie avance à pas comptés. Après Bain (Ada Di Marzo en 2019), et Kearney (Delphine Bourilly depuis le 1er juillet dernier), c’est au tour de McKinsey de faire le choix d’une femme pour diriger le cabinet en France : Clarisse Magnin-Mallez en devient ainsi la cheffe d’orchestre.
Dans un contexte de forte reprise du marché du conseil (relire notre article) et de très vive concurrence des cabinets pour recruter (relire notre article), les cas de démarchage en masse des équipes de consultants de cabinets concurrents se multiplient. Au point de s’attirer des menaces de procès. Que dit la loi ? Nous avons posé la question à des avocats.
La directrice associée senior de McKinsey Paris, Mary Meaney, vingt-quatre ans de maison au compteur, vient de quitter le cabinet pour une « destination » encore inconnue. Son départ porte l’effectif des associés parisiens à 71 personnes dont 49 directeurs et directrices associé(e)s et 22 directeurs et directrices associé(e)s.
L’un des trois associés cofondateurs de Circle, Olivier Brisac, renonce au conseil et prend la direction de Solendro. Il vient, en effet, d’être nommé CEO du site de e-commerce de sous-vêtements pour hommes. Deux ans après sa création, il quitte donc Circle qui affiche une belle dynamique hors les classiques codes du conseil « à la mode start-up ». Une approche entrepreneuriale qui avait d’ailleurs convaincu Olivier Brisac de se lancer dans l’aventure Circle.
Les cabinets de conseil internes aux groupes du CAC 40 et au-delà se multiplient : une cinquantaine de structures ont vu le jour ces cinq dernières années avec des objectifs similaires.
Parfois concurrents des cabinets externes, la crise leur est plutôt bénéfique : leur part de marché moyenne est passée de 2 à 3 % en 2018 des budgets achat de conseil à 10 % en 2021, selon les chiffres de l’Association française de conseil interne qui tenait sa convention annuelle début juillet.
Le Syntec Conseil, l’organisation représentante du secteur du conseil en France à laquelle adhèrent 250 cabinets de tout type – dont 80 cabinets en management et stratégie, notamment Bain, Mars et Roland Berger – présentait à ses membres mercredi 7 juillet les principales conclusions de son étude d’activité annuelle du marché du conseil français. Il en ressort que le conseil en stratégie a été le plus préservé des segments de conseil. Mais le monde d’après n’est plus celui d’avant la covid.
Le Syntec Conseil, l’organisation représentante du secteur du conseil en France à laquelle adhèrent 250 cabinets de tout type – dont 80 cabinets en management et stratégie, notamment Bain, Marset Roland Berger – vient de renouveler son conseil d'administration. Matthieu Courtecuisse, le fondateur et CEO de Sia Partners, est réélu président pour un mandat de trois ans, son deuxième.
Le cabinet McKinsey & Company annonce l’arrivée à Paris de Jérémie Caullet, en provenance de PwC (où plusieurs départs sont intervenus récemment au sein de l’unité de conseil en stratégie, relire notre article), un expert mondial des transformations technologiques, nommé leader du pôle digital de McKinsey.
Fin juin, le Boston Consulting Group annonçait la promotion de quatre directeurs associés seniors, Olivier Bouffault, Yahya Daraaoui, Frédérik Jobert, et Yann Sénant (relire ici).
Doris Galan à la tête de la practice private equity en France, Daphné Vattier et Laurent Colombani promus senior partners et Yacine Berrada promu expert partner (relire notre article sur ces profils expérimentés développés par Bain) : tels sont les mouvements annoncés par Bain le 29 juin 2021.
Quel chemin parcouru ! En décembre 2019, en pleine grève de la SNCF contre la réforme des retraites, certains cabinets de conseil préféraient payer le taxi à leurs collaborateurs ou les aider à acquérir des vélos électriques (relire notre article) plutôt que d’élargir le recours au télétravail. Un an et demi, une pandémie et trois confinements plus tard, la donne n’est plus la même.