
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Lors de la finale de l’Accuracy Business Cup 2025, 27 étudiants représentant 9 pays ont relevé le défi stratégique et financier posé par Danone et Accuracy à Paris. Débrief avec le partner en charge de la compétition, deux équipes de candidats et des membres du comex du géant français de l’agroalimentaire.
Les consultants remplacés par l’IA ? On en parle depuis le lancement de ChatGPT fin 2022, ou presque. Xavier AI et son CEO-cofondateur, Joao Filipe, annoncent l’avoir fait.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Sur le site du BCG, la page « Diversity, Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024. Chantre de la DEI et de son conseil dédié, le cabinet pourrait-il y renoncer ?
En juin dernier, Times Inc. faisait appel à McKinsey pour couper dans ses dépenses. En parallèle, l'entreprise cherchait à recruter un Chief Transformation Officer pour mener à bien les opérations en interne. Finalement, selon plusieurs sources internes, la fonction devrait être occupée de facto par le partner de McKinsey en charge de la mission, à savoir Christian Schmitz. Le consultant a l'énorme avantage de connaître l'entreprise et surtout, d'après un proche du dossier, 'd'être épaulé par 25 autres consultants de chez McKinsey'.
Pour le cabinet, l'opération peut s'avérer très rentable. Sa mission sera de faire économiser quelques 400 millions de dollars au groupe de média. Le cabinet et son partner, seront rémunérés en pourcentage du montant total des économies réalisées. De quoi motiver le nouveau CTO et ses équipes de consultants.
Source : https://nypost.com
Le géant danois Lego a nommé Niels B. Christiansen au poste de CEO. Celui qui était jusqu'à présent le dirigeant de Danfoss aura pour tâche de relancer la croissance du fabricant de jouet. Niels Christiansen est un ancien de McKinsey où il a travaillé entre 1991 et 1995. C'est pendant son passage dans le conseil qu'il a obtenu un MBA de l'INSEAD (1993).
Lego est un habitué des anciens de McKinsey. En 2000, la société avait fait appel au cabinet pour relancer une activité au bord de la faillite. A l'issue de la mission en 2001, l'un des consultants est embauché pour devenir le bras droit du CEO d'alors. Le jeune consultant, Jørgen Vig Knudstorp, deviendra CEO de l'entreprise danoise en 2004 et, à force de réorganisation et de recentrage de l'activité, sera l'artisan du retour à la croissance.
Sir Alcon Copisarow, ancienne figure du conseil mondial, est décédé début août à l'âge de 97 ans. Si le nom ne dit plus grand chose aux consultants d'aujourd'hui, Sir Copisarow reste une figure majeure de l'histoire du conseil. Ancien haut fonctionnaire en Angleterre, il avait rejoint McKinsey en 1966, après avoir été un collaborateur direct de Winston Churchill et de la famille royale.
Il devient ensuite le premier Senior Partner de McKinsey à ne pas être né sur le sol américain ou à en avoir la nationalité. En tant que consultant, il aura la charge de quelques missions emblématiques, telles que la réorganisation de la Bank of England ou encore du Conservative Party Central Office à la demande du leader d'alors, Margareth Thatcher.
Source : The Jewisch Chronicle
OC&C a connu quelques remous ces dernières années et c'est désormais au bureau français d'être impacté. Lundi 14 août, le cabinet annonce un remaniement et 'l'ouverture d'un nouveau bureau en France'. Le cabinet de conseil confirme également le départ vers EY d''un certain nombre de partners'. A en croire la liste des associés sur le site d'OC&C cela concerne toute l'équipe des partners précédemment présents à Paris qui ont réjoint leurs collègues du Benelux chez EY.
Bruno Bousquié, ancien managing director, nous avait indiqué en 2016 que le cabinet travaillait à 'renforcer les liens entre les bureaux'. Cette direction est confirmée par le communiqué de presse qui indique que le le bureau parisien sera 'complètement intégré au réseau international d'OC&C (14 bureaux dans 9 pays et 150 M$ de CA), tout en maintenant son indépendance de point de vue et son expertise sectorielle, très prisées sur le marché'.
C'est donc un nouveau départ à Paris pour le cabinet de conseil qui s'appuie sur une équipe de direction complètement renouvelée dont le défi sera de relancer le cabinet de conseil en France sur 'un marché clef pour OC&C' selon les mots du Managing Partner David Krucik. Les secteurs ciblés : les produits de grande consommation, la distribution et le conseil aux fonds d'investissement.
Deux partners de Londres, Henri-Thierry Toutounji et David de Matteis, arrivent de Londres pour participer à une direction à trois têtes. L'autre membre du trio étant Philippe Pruneau, l'un des associés historiques* d'OC&C en France et qui, d'après son profil LinkedIn, avait quitté le cabinet en décembre dernier.
Enfin, le bureau change de localisation géographique. Il est désormais situé au 4 place de l'Opéra à Paris (9ème arrondissement).
*Les fondateurs du bureau de Paris d'OC&C ont été Ed de Sa Pereira et Philippe Kaas. Philippe Pruneau s'est lui associé à Philippe Kaas et Christophe Jeanteur, pour relancer OC&C à Paris après la rupture de l'alliance avec Coopers & Lybrand, en 1996.
D'après le Telegraph, la chaîne de supermarchés Sainsbury's a fait appel à McKinsey pour la mise en place d'un plan drastique de réduction des coûts. Le plan concernera les fonctions support du groupe et devrait permettre d'économiser quelques 500 millions de Livres. L'enseigne de grande distribution essaie depuis plusieurs années de réduire son train de vie et de redresser les comptes. Cette fois, c'est le siège qui sera impacté.
Parmi les mesures que doit mettre en place McKinsey, le Telegraph rapporte un important plan de suppression d'emploi. Le cabinet doit permettre à Sainsbury's de diminuer d'un tiers ses fonctions support en supprimant 1 000 emplois sur les 3 000 emplois occupés actuellement.
L'assureur Aspen a annoncé début août avoir fait appel à McKinsey pour redresser ses comptes. Lors de la presentation des mauvais résultats du deuxième trimestre, le CEO d'Aspen a indiqué, selon Insurance Insider, que les consultants de McKinsey travaillaient déjà depuis trois mois à un 'efficiency plan'.
D'après les propos même du patron de l'assureur, l'objectif de cette collaboration est de donner naissance à 'Aspen 2.0'.
Bain & Company a vu partir l'un de ses partners historiques après 25 ans de bons et loyaux services. Philippe De Backer, partner advisor de la practice Global Financial Services, a ainsi été recruté par Korn Ferry début août (cf. communiqué de presse).
Philippe De Backer est un historique de Bain, qu'il avait rejoint en 1992 à Boston (Massachussetts - USA). Par la suite, il a été l'un des fondateurs des bureaux de Bruxelles (Belgique) et Amsterdam (Pays-Bas).
En 2004, il a rejoint le bureau parisien, dont il a été pendant six ans l'un des partners à la tête du développement. En 2010 enfin, Philippe De Backer avait quitté Paris pour Dubai (Emirats Arabes Unis).
Oliver Wyman a officialisé, en juillet, la nomination d’un nouveau senior advisor en la personne du Français Philippe de Fontaine Vive. Passé par la Direction du Trésor ou encore la Banque mondiale, il a surtout été vice-président de la Banque européenne d’investissement entre 2003 et 2015. Si l’on en croit le profil LinkedIn de l’intéressé, Philippe de Fontaine Vive aurait en fait débuté sa collaboration avec Oliver Wyman dès février dernier.
Roland Berger a dévoilé la liste des entreprises accompagnées dans leurs opérations de private equity au cours des six premiers mois de l’année.
D’après une étude de Source Global Research citée par le Wall Street Jounal, le marché du conseil a connu une croissance de 7 % en 2016 aux États-Unis.
Cette croissance aurait été principalement soutenue par les missions liées à la cybersécurité. Par ailleurs, le secteur pharmaceutique, entré dans une ère de concentration, a également été un bon client pour le conseil de manière générale. En tout, ce sont quelque 56,7 milliards de dollars qui ont été dépensés dans des prestations de conseil en tout genre.
Ces chiffres, loin d’être extraordinaires, restent encourageants malgré un contexte anxiogène pour les décideurs. Le Brexit ainsi que l’incertitude autour de l’élection américaine ont en effet ralenti l’activité. Le paradoxe, selon la société Source Global Research, réside justement dans les résultats de cette même élection qui pourraient pousser la croissance du conseil en 2017 outre-Atlantique. Le président Trump étant enclin à la déréglementation, la directrice de Source Global Research estime que les cabinets « ont fait de l’argent en mettant en place les nouvelles réglementations, ils pourraient également en faire grâce à la dérégulation ».
La société publique indienne Power Grid a lancé un appel d'offres peu commun pour le monde du conseil en stratégie. Elle cherche actuellement un cabinet pour l'accompagner dans la mise en place d'un plan stratégique. La consultation comprend deux tours. Une fois les dossiers sélectionnés sur la base de l'offre de service, la deuxième étape consistera en une vente aux enchères inversée via une plateforme électronique. Au final, parmi les cabinets short-listés, le moins-disant emportera la mission.
Cette méthode, déjà utilisée par le service public indien dans l'industrie du charbon, est un phénomène très rare dans le milieu du conseil en stratégie. Il pourrait en refroidir plus d'un sachant, par ailleurs, que Power Grid a de toute façon limité le nombre de participants, en émettant avant même la première étape une liste fermée de cabinets autorisés à participer (pour les cabinets internationaux, seul le nom de PwC a fuité).
Source : www.livemint.com
L’association allemande Leonhard, pour le moment active uniquement en Bavière, a fait appel à Oliver Wyman dans sa stratégie d’expansion nationale. L’association a pour objectif d’accompagner les prisonniers dans leur démarche de création d’une entreprise. Elle leur fournit une formation ainsi qu’un mentoring. Le succès de cette initiative a incité l’association à déployer ses services sur l’ensemble du territoire allemand. Pour ne pas faire les choses à moitié, elle a fait appel aux conseils d’Oliver Wyman. Le cabinet lui fournira un plan stratégique de déploiement pour les prochaines années. Le communiqué de presse ne précise pas si la mission se fait en pro bono ou non, même s’il semble plus que probable que ce soit le cas.
Source : www.presseportal.de
Les équipes parisiennes de L.E.K. Consulting changeront dès le 31 juillet de locaux, passant du 3 au 2 rue Paul Cézanne dans le 8e arrondissement.
Pensés après « brainstorming » avec les consultants et dans un souci de développement durable, le design, le mobilier et les espaces de vie des nouveaux bureaux visent à optimiser les conditions de travail.
Kea & Partners a été classé premier des entreprises de moins de 1 000 salariés à avoir participé au classement HappyAtWork for Starters. Ce classement s’adresse aux personnes de moins de 30 ans et s’intéresse aux entreprises où il fait bon commencer sa carrière. C’est la deuxième année de participation pour Kea, qui cette fois s’empare de la plus haute marche du podium (à noter que Kea est le seul cabinet de conseil en stratégie à avoir participé au classement). 76,9 % des salariés de moins de 30 ans du cabinet ont répondu à l’enquête. 95 % d’entre eux recommanderaient Kea pour un premier poste et ils ont en moyenne décerné une note de 4,48/5 au cabinet.
Source : Kea Partners.com
L’intervention de McKinsey à Berlin dans la gestion de la crise des migrants aura fait couler de l’encre. Désormais, le sujet est même évoqué de l’autre côté de l’Atlantique. Le Washington Post y a consacré un long article, plutôt à charge et parfois de mauvaise foi.
Selon le journaliste et les témoins cités, les méthodes du conseil en stratégie ont eu pour effet « une baisse nette de la qualité du service ». Selon l’auteur, les « demandeurs d’asile ont moins de droits » et les frontières allemandes ont été fermées. Le journaliste ne précise pas en quoi ces décisions, en général de la responsabilité du politique, seraient cette fois du fait de McKinsey. Car la mission initiale du consultant était de réduire le temps de traitement des dossiers de demande d’asile, ce que McKinsey a réussi de l’aveu même du journaliste. Mais ce résultat ne satisfait pas non plus le plumitif. Preuve en est, McKinsey avait fait la même chose en Suède en 2009, deux ans avant la guerre en Syrie. Mais voilà, lorsque la crise des réfugiés a éclaté en 2015, le temps de traitement des dossiers a à nouveau augmenté. Le journaliste en veut à McKinsey d’avoir mis en place un modèle qui ne fonctionnait plus aussi bien six ans après, dans un contexte géopolitique totalement différent. Le journaliste aurait voulu régler un compte avec McKinsey qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
Strategy&, la branche de conseil en stratégie de PwC née du rachat de certaines activités de Booz, s'installe enfin en Belgique. Officiellement, elle est presente dans le royaume depuis mars 2017. PwC avait alors recruté Fernand Dimidschstein, en provenance d'Accenture, pour diriger le déploiement de Strategy& outre-quiévrain. Depuis le début du mois de juillet, ce déploiement semble prendre forme. Tout d'abord, un gros logo a été mis en bonne place sur les bâtiments de PwC. Ensuite, et surtout, PwC a convoqué la presse, signe d'un passage à la vitesse supérieure.
Source : https://trends.levif.be
Le Boston Consulting Group a officialisé le 18 juillet l'acquisition de Maya Design, société de design digital basée à Pittsburgh (Pennsylvanie - Etats-Unis). La start-up est spécialisé dans l'innovation et le prototypage de modèle de user experience dans le digital.
Les trentes salariés de la société vont rejoindre les équipes digitales du BCG. Les trois fondateurs, professeurs à la Carnegie Mellon University, ont été nommés senior advisors du cabinet tandis que le CEO deviendra lui director. Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé.
Source : www.bizjournals.com
A l'occasion des 50 ans de Roland Berger, le cabinet a réuni lors d'une soirée de célébration une bonne partie de ses consultants français ainsi qu'une partie de ses anciens. La fête a eu lieu mi-juillet sur l'île Monsieur, à Sèvres (Hauts-de-Seine).
Source : www.linkedin.com
Roberto Ponce Romay, un ancien de Bain & Company en Latam, vient tout juste de lancer un CAF, pour Crypto Asset Fund. Ce nouveau type de fonds doit investir uniquement dans les monnaies dématérialisées, dont la plus connue reste le bitcoin. Lancé au début du mois, le nouveau mode d’investissement a pour ambition de lever au moins 50 millions de dollars auprès des fortunes sud-américaines.
Source : https://cointelegraph.com
Début juillet, nous vous relations le début d’un scandale sud-africain impliquant McKinsey.