
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Sur le site du BCG, la page « Diversity, Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024. Chantre de la DEI et de son conseil dédié, le cabinet pourrait-il y renoncer ?
Booz Allen, Accenture, Deloitte, KPMG : les renoncements aux politiques de diversité-équité-inclusion (DEI) se sont succédé en février 2025. Quel impact pour les cabinets de conseil en strat’ ?
Après l’annonce d’Accenture qui renonce à ses « objectifs de DEI », le patron Monde de McKinsey réaffirme son engagement en faveur de la diversité tout en jouant sur les mots.
Dès le lendemain de son investiture du 20 janvier 2025, le 47e président des États-Unis d’Amérique a annoncé que les pays européens (tout comme la Chine, le Canada et le Mexique) pourraient être soumis à des droits de douane, déclarant ainsi : « L’Union européenne est très mauvaise pour nous. Ils nous traitent très mal. Ils ne prennent pas nos voitures ou nos produits agricoles. En fait, ils ne prennent pas grand-chose, donc ils sont bons pour nos droits de douane. »
McKinsey entend recruter quelque 250 nouveaux collaborateurs au Costa Rica dans les années à venir. Le cabinet s’est implanté dans le pays en 2010 et y a créé un centre de compétence pour soutenir ses activités globales. McKinsey y emploie déjà 700 collaborateurs, principalement actifs sur les questions de Graphics & Media, Technology & Digital, Research Analytics et New Ventures. Pour soutenir une activité florissante, le cabinet déménagera début 2018 dans des locaux pouvant accueillir 1 300 personnes et entend faire croître significativement ses effectifs durant les trois à cinq prochaines années.
Source : https://news.co.cr
Le Boston Consulting Group se trouve bien malgré lui empêtré dans une affaire judiciaire de première importance au Portugal.
Berlin, hub digital européen du conseil en stratégie? Après Roland Berger et A.T. Kearney qui ont tous les deux investi dans le digital dans la capitale allemande, c’est au tour de McKinsey de s’installer à Berlin. Le cabinet a ouvert en mai son premier Experience Studio en Europe.
Il s’est associé à quinze importantes start-up actives dans la mobilité, l’intelligence artificielle, la réalité virtuelle et l’internet des objets. McKinsey propose à ses clients de s’immerger dans le monde des start-up et de faire évoluer leurs méthodes grâce à des workshops ou des formations sur place. C’est le troisième Experience Studio du cabinet de conseil en stratégie après ceux de Toronto et New York.
Selon plusieurs sources concordantes, Time Inc., le groupe propriétaire du Time ainsi que de People, Sports Illustrated and InStyle, a fait appel au service de McKinsey pour 'reengineer' la structure. Les détails de la mission n'ont pas été dévoilés, mais on sait qu'en avril le patron du groupe avait annoncé vouloir mener une politique agressive de contrôle des coûts. Les sources internes évoquent la somme de 100 millions de dollars à économiser pour la prochaine année.
Source : New York Post
C’est un fait rare : un dirigeant politique francophone assume la tête haute avoir travaillé avec le conseil en stratégie. L’ancienne ministre belge francophone de l’Enseignement, Marie-Martine Schyns, a défendu dans La Libre Belgique « la plus-value » apportée par McKinsey pour refondre le système scolaire en Wallonie et dans la partie francophone de Bruxelles. Ses opposants lui reprochent d’avoir fait appel au cabinet malgré deux avis négatifs de l’inspection des finances. Par ailleurs, un récent rapport de la Cour des comptes belge signale des vices de forme dans l’attribution du marché.
Les équipes de l’ex-ministre notent les critiques, mais arguent quant à elles que le coût de la mission a été presque insignifiant. En effet, McKinsey, aidé de financements extérieurs, a pris en charge lui-même la majeure partie de la mission, soit 1,3 million d’euros. La Fédération Wallonie-Bruxelles* a dû seulement régler une facture de 120 000 euros. Une somme minime par rapport aux coûts habituels d’une telle mission.
*La Belgique a la double particularité d’être un État fédéral très décentralisé ainsi qu’une nation multilingue. Ainsi, il existe des gouvernements non seulement au niveau régional, mais également à l’échelon linguistique, la région bruxelloise étant officiellement bilingue. Le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles est pour sa part responsable de l'enseignement, de la recherche ou encore de la culture pour les parties francophones de Belgique.
MNH Group, spécialisé dans les solutions à destinations des professionnels de la santé, a annoncé la nomination de Nathalie Lundqvist au poste de directeur général adjoint en charge du développement et de l'internationale. Nathalie Lundqvist arrive de Korean Allemagne, où elle était également directeur général adjoint. Nathalie Lundqvist, diplômée de SKEMA Business School et de l'INSEAD, a notamment fait une partie de sa carrière chez Bain & Company au sein du bureau parisien, de 2000 à 2006.
source : Capgeris
Le Boston Consulting Group connaît des années fastes et une croissance continue depuis plusieurs années et ne compte pas s’arrêter là. La dernière preuve en date, selon le Houston Business Journal, le BCG entendrait doubler dans les années à venir le nombre de ses collaborateurs basés à Houston (Texas – États-Unis). En 2015 déjà, alors qu’il comptait autour de soixante-dix employés, l’un des partners assurait que les effectifs augmenteraient de 20 % dans l’année. On ne sait pas si cet objectif a été atteint. En revanche, on sait que d’après des partners du BCG à Houston, il y a encore de l’espace pour « créer des relations plus profondes » avec les clients locaux.
Source : Bizjournals
A.T. Kearney est le nouveau partenaire stratégique de la plateforme américaine THRIVE AgTech, créée par SVG Partners. Celle-ci a pour objectif de faire collaborer les sociétés high-tech et start-up avec le monde de l’agriculture. A.T. Kearney est le premier cabinet de conseil en stratégie à rejoindre la plateforme. Il sera aux côtés de grands noms comme Verizon, Wells Fargo, Panasonic ou Yamaha.
Source : www.prnewswire.com
Lou Gautier, qui a arpenté les couloirs de Bain & Company de 2005 à 2013, vient d’être promue « directrice ligne de produits site » chez SoLocal Group/Pages Jaunes. Elle avait rejoint le groupe en 2013 au poste de directrice marketing de la business unit « habitat ». Avant cela, Lou Gautier avait fait toute sa carrière chez Bain où elle intervenait principalement auprès de clients des télécommunications, médias et services. Elle est diplômée de l’École centrale de Paris (2003) et de l’université de Berkeley (Californie – États-Unis).
Source : cbnews
Vertone a officialisé la nomination de trois nouveaux partners cette année. Deux sont issus de la promotion interne tandis que le troisième a rejoint Vertone en janvier, directement au poste de partner.
Frédéric Estève, 38 ans, est diplômé des Mines de Nantes (2001) et d’un master de l’EDHEC (2003). Il avait rejoint Vertone en 2005 où il prend désormais en charge le développement des secteurs médias, tourisme et loisirs.
Arnaud Viody, diplômé de Neoma Business School (2003), avait intégré Vertone en 2006 après avoir passé un peu plus d’un an et demi chez Mille-Alliance. Chez Vertone, il intervient principalement sur des missions de transformation client. Arnaud Viody s’occupera du développement du secteur de la distribution et des produits de grande consommation.
Sébastien Mahieux-Bibé est entré chez Vertone début janvier en qualité de partner. Diplômé de l’ESC Pau (1996) et de Sciences-Po Paris (1998), il a alterné les expériences en entreprise et dans le conseil. Il a notamment travaillé de 2001 à 2005 pour Eurogroup Consulting avant de prendre des postes à responsabilité chez LCL ou Axa IARD. En 2011, il était revenu dans le conseil en prenant en charge les questions de marketing stratégique et de transformation des business models chez Equancy. Il est depuis le début d’année partner au sein de la practice services financiers de Vertone.
L’Allemand Webtrekk, spécialisé dans les « solutions d’intelligence digitale », a décidé de s’attacher les services d’un partner de McKinsey pour permettre à la société de passer un cap. Son fondateur et actuel PDG Christian Sauer va prendre un peu de recul et donner la main à Wolf Lichtenstein, ancien CEO de SAS et devenu depuis partner chez McKinsey. Une greffe qui a fait long feu, Wolf Lichtenstein ayant pris ses fonctions au sein du cabinet il y a moins d’un an, en septembre 2016. Il retourne finalement dans l’industrie où il sera chargé d’accélérer l’internationalisation d’une entreprise qui compte déjà cinq implantations à travers le monde.
Source : www.informatorenavale.it
Le quotidien allemand Die Welt vient de révéler un conflit entre Roland Berger, le cabinet, et Roland Berger, le docteur. Au départ de l'affaire, le dépôt par le docteur du nom de domaine rolandbergergroup.com et la création d'une adresse mail associée,
Cette initiative n'est pas du goût du cabinet de conseil en stratégie qui a saisi la justice pour lui interdire d'utiliser ce nom de domaine. En première instance, l'entreprise a été déboutée de ses demandes. Elle a alors fait appel puis s'est rétractée au dernier moment, alors que l'audience était prévue mardi 16 mai. Le cabinet entend régler ce problème en privé avec celui qui l'a créé il y a cinquante ans et qui reste officiellement président honoraire du conseil de surveillance.
David Giblas, partner chez Oliver Wyman depuis octobre 2013, a pris en avril la tête d’une nouvelle direction chez Malakoff Médéric. Il a été nommé chief innovation, digital & data officer et membre du ComEx. David Giblas, diplômé de Supélec (1992), est un spécialiste de l’assurance. Il a partagé sa carrière entre le conseil et l’industrie elle-même. Il a notamment été en charge de l’activité assurance pour IBM en Europe de l’Ouest ou encore responsable de la practice Financial Services en Asie et Moyen-Orient pour Capgemini Consulting.
Source : www.itespresso.fr
Olivier Marchal se transforme peu à peu en VRP pour la France d’Emmanuel Macron. Avant le second tour, il avait déjà affirmé sur Bloomberg UK l’optimisme des dirigeants d’entreprise en cas d’élection d’Emmanuel Macron. Au lendemain du scrutin, il s’est cette fois exprimé sur Bloomberg USA pour confirmer la bonne humeur des businessmen français et leur espoir de voir la France se réformer dans les années à venir. Il a fait le parallèle avec l’Allemagne des années 2000 pour assurer que les changements pourraient se faire ressentir rapidement. Il a tout de même précisé que cette élection n’avait pas pour autant tué le populisme en France, Marine Le Pen ayant rassemblé un tiers des électeurs.
Le Boston Consulting Group est l'une des cinq sociétés de conseil à s'être partagé le beau gâteau du conseil au gouvernement australien en 2016. Le Daily Telegraph révèle que cinq cabinets se sont partagé près de 130 millions de dollars australiens (88 millions d'euros) d'honoraires pour l'année fiscales écoulées. Le BCG a notamment réalisé cinq missions pour le département de l'immigration pour un total de 13 millions de dollars australiens (8,8 millions d'euros). Le détail des missions reste inconnu, le ministère ayant refusé de répondre aux questions du journaliste.
Un processus de recrutement dans le conseil en stratégie pourrait s'apparenter à un marathon ; un marathon un peu vicieux où les arbitres semblent tentés de vous faire des croche-pieds. Pour résister à cette pression, Les Echos Start ont recueilli un certain nombre de conseil à destination des étudiants. Si le mini-dossier ne révolutionne pas l'état de l'art, il pourra avoir au moins le mérite de rappeler à certains les bases d'un tel processus : la préparation, l'entrainement mais aussi la décompression.
Le recteur de l’université de Luxembourg n’a plus la confiance du conseil de surveillance, qui a notamment appelé McKinsey à la rescousse.
Le contrat de McKinsey avec les autorités allemandes pour le traitement de la crise des réfugiés fait une nouvelle fois les choux gras de la presse.
Le Bild révélait fin avril que McKinsey a facturé le travail de certains stagiaires autour de 2 000 euros par jour à l’Office de gestion des réfugiés. Interrogé par le journal, McKinsey n’a pas démenti cette information. Le cabinet évoque une erreur d’inadvertance concernant deux stagiaires sur les quelque 370 personnes engagées pour traiter la trentaine de projets réalisés par le cabinet de conseil en stratégie pour les autorités allemandes sur le dossier.
Bain organisera le 18 mai prochain un chat-vidéo destiné aux femmes. De 12 h 30 à 13 h 30, des consultantes du cabinet témoigneront de leur métier et répondront aux questions des internautes. Pour participer à l’événement, il est nécessaire de s’inscrire au préalable en déposant son CV sur JobTeaser.
Olivier Marchal, président de Bain & Company en France et vice-président de Consult'in France, a estimé à la télévision britannique qu’une éventuelle élection d’Emmanuel Macron le 7 mai serait accueillie de manière positive par le patronat français.
Au présentateur de Bloomberg, il a d’abord assuré le soulagement des CEO après le premier tour, qui a éliminé l’hypothèse d’un second tour entre ceux qu’Olivier Marchal qualifie de « deux candidats populistes anti-européens ». Il estime que le monde des affaires hexagonales est actuellement dans une phase « d’optimisme prudent » en attendant dimanche.
Si M. Macron venait à être élu, Olivier Marchal estime toutefois que la « lune de miel » avec les CEO français serait de courte durée. Ils attendraient de voir le résultat des élections législatives de juin et surtout qu’Emmanuel Macron mette en œuvre une série de « réformes structurelles dont la France a sérieusement besoin ».
À titre personnel et selon les résultats des différentes élections, Olivier Marchal se dit « assez optimiste » pour que la France « regagne la compétitivité perdue ces cinq à quinze dernières années ». Il pose toutefois trois conditions : la réforme du marché du travail, de la taxation ainsi que la complexité administrative qui pèse sur l’économie.