
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Lors de la finale de l’Accuracy Business Cup 2025, 27 étudiants représentant 9 pays ont relevé le défi stratégique et financier posé par Danone et Accuracy à Paris. Débrief avec le partner en charge de la compétition, deux équipes de candidats et des membres du comex du géant français de l’agroalimentaire.
Les consultants remplacés par l’IA ? On en parle depuis le lancement de ChatGPT fin 2022, ou presque. Xavier AI et son CEO-cofondateur, Joao Filipe, annoncent l’avoir fait.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Sur le site du BCG, la page « Diversity, Equity & Inclusion » n’existe plus dans sa configuration de 2024. Chantre de la DEI et de son conseil dédié, le cabinet pourrait-il y renoncer ?
Un processus de recrutement dans le conseil en stratégie pourrait s'apparenter à un marathon ; un marathon un peu vicieux où les arbitres semblent tentés de vous faire des croche-pieds. Pour résister à cette pression, Les Echos Start ont recueilli un certain nombre de conseil à destination des étudiants. Si le mini-dossier ne révolutionne pas l'état de l'art, il pourra avoir au moins le mérite de rappeler à certains les bases d'un tel processus : la préparation, l'entrainement mais aussi la décompression.
Le recteur de l’université de Luxembourg n’a plus la confiance du conseil de surveillance, qui a notamment appelé McKinsey à la rescousse.
Le contrat de McKinsey avec les autorités allemandes pour le traitement de la crise des réfugiés fait une nouvelle fois les choux gras de la presse.
Le Bild révélait fin avril que McKinsey a facturé le travail de certains stagiaires autour de 2 000 euros par jour à l’Office de gestion des réfugiés. Interrogé par le journal, McKinsey n’a pas démenti cette information. Le cabinet évoque une erreur d’inadvertance concernant deux stagiaires sur les quelque 370 personnes engagées pour traiter la trentaine de projets réalisés par le cabinet de conseil en stratégie pour les autorités allemandes sur le dossier.
Bain organisera le 18 mai prochain un chat-vidéo destiné aux femmes. De 12 h 30 à 13 h 30, des consultantes du cabinet témoigneront de leur métier et répondront aux questions des internautes. Pour participer à l’événement, il est nécessaire de s’inscrire au préalable en déposant son CV sur JobTeaser.
Olivier Marchal, président de Bain & Company en France et vice-président de Consult'in France, a estimé à la télévision britannique qu’une éventuelle élection d’Emmanuel Macron le 7 mai serait accueillie de manière positive par le patronat français.
Au présentateur de Bloomberg, il a d’abord assuré le soulagement des CEO après le premier tour, qui a éliminé l’hypothèse d’un second tour entre ceux qu’Olivier Marchal qualifie de « deux candidats populistes anti-européens ». Il estime que le monde des affaires hexagonales est actuellement dans une phase « d’optimisme prudent » en attendant dimanche.
Si M. Macron venait à être élu, Olivier Marchal estime toutefois que la « lune de miel » avec les CEO français serait de courte durée. Ils attendraient de voir le résultat des élections législatives de juin et surtout qu’Emmanuel Macron mette en œuvre une série de « réformes structurelles dont la France a sérieusement besoin ».
À titre personnel et selon les résultats des différentes élections, Olivier Marchal se dit « assez optimiste » pour que la France « regagne la compétitivité perdue ces cinq à quinze dernières années ». Il pose toutefois trois conditions : la réforme du marché du travail, de la taxation ainsi que la complexité administrative qui pèse sur l’économie.
C’est désormais officiel, Oliver Wyman a recruté en début d’année un nouveau partner, en la personne de Mohssen Toumi. Spécialiste des télécoms, il rejoint le bureau parisien, mais devrait intervenir au niveau global. Mohssen Toumi, 39 ans, est diplômé de Centrale Paris en 1999. Il a débuté sa carrière chez Gemini Consulting et a notamment fait un tour par San Francisco (États-Unis) entre 2006 et 2008. Cette même année, il rentre en France et devient partner de Booz & Company (depuis devenu Strategy&), poste qu’il occupait jusqu’à son arrivée chez Oliver Wyman. Mohssen Toumi est avant tout un spécialiste des télécoms et de la high-tech, mais intervient également auprès des secteurs de l’énergie et des services sur des problématiques de transformation digitale.
AlixPartners sera en charge d’une partie du plan de redressement du cabinet d’avocat d’origine australienne Slater & Gordon, coté en bourse depuis 2007. La société, qui emploie quelque 2 500 salariés à travers le monde, doit en effet apurer plusieurs centaines de millions de dollars de dette, détenus principalement par quatre fonds d’investissement (Anchorage Capital, Davidson Kempner, York Capital Management et Taconic Management). D’après les informations publiées par Financial Review, les quatre créanciers ont accepté d’échanger la dette contre des parts dans le cabinet d’ici fin juin. Au final, ce sont près de 95 % des parts de l’entreprise qui devraient changer de main. AlixPartners et le cabinet Gilbert + Tobin ont été chargés de mener à bien les opérations.
Source : www.afr.com
Kea & Partners a été choisi par le conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB) pour construire le plan stratégique « Bordeaux, ambitions 2025 » avec l'ensemble des acteurs de la filière. L'ossature du plan sera présentée d’ici la fin de l'année. L’objectif est de relancer la vente des vins de Bordeaux en France et dans l’Union européenne après quelques années de baisse.
Pour mener à bien sa mission, Kea va mobiliser l'ensemble des acteurs via un dispositif en cercles concentriques, élargissant au fur et à mesure le nombre d'acteurs participants. Le CIVB et Kea entendent ainsi fédérer un maximum d’acteurs autour d’un plan d’action commun.
Source : Vitisphere.com
Oliver Wyman a recruté, début février, l’ensemble des équipes françaises de Hitachi Consulting (Celerant Consulting jusqu’en 2013). Le cabinet est un spécialiste des problématiques de conseil opérationnel, notamment sur les questions d’excellence opérationnelle et de supply chain. D’après le communiqué de presse, toutes les équipes françaises ont rejoint la practice Operations. Elles restent sous la responsabilité d’Henri-Paul Missioux, qui était jusqu’à présent VP en charge du développement d’Hitachi Consulting en France, et de Philippe Jaspart, responsable des équipes Opérations dans l’Hexagone.
Le McKinsey Government Center a annoncé avoir mis au point une méthodologie permettant d’évaluer l’efficacité des administrations et des politiques publiques à travers le monde. Il s’agit essentiellement d’une base de données regroupant quarante-deux pays produisant à eux seuls 80 % du PIB mondial. Grâce à cette nouvelle méthodologie, McKinsey assure pouvoir faire économiser aux États du monde entier pour 3,7 billions de dollars par an à partir de 2021. Le cabinet entend améliorer la productivité de l’ensemble des secteurs publics, tels que la santé, l’éducation, la sécurité publique, les transports ou encore l’impôt.
Source : https://blog.executivebiz.com
Le Boston Consulting Group fait la une de la presse locale suédoise après son éviction controversée d’une mission de réorganisation du Karolinska University Hospital (Stockholm – Suède). L’institution a officiellement annoncé la fin de la collaboration, débutée en 2010, et qui aurait déjà rapporté au cabinet près d’un milliard de couronnes suédoises (104 millions d’euros). En cause, une perte de confiance du client suite à la grogne du personnel, mais surtout après la découverte des liens entre l’un des dirigeants de l’hôpital et le cabinet de conseil en stratégie.
Le directeur des opérations, Andreas Ringman Owl, est en effet un ancien consultant du BCG. Le partner en charge de la mission ne serait autre que son ancien « mentor » personnel. Suite à ces révélations, M. Owl s’est vu retirer son mandat de directeur des opérations, mais restera néanmoins directeur de la production et responsable du département développement de l’hôpital.
Source : www.dn.se
Anna Green, partner du Boston Consulting Group en Australie, assure que les femmes ont « autant d’ambition que les hommes » et que ce sont les entreprises qui peuvent parfois ralentir leur progression. Anna Green prend son parcours en exemple. Mère de famille, elle a été élue partner en 2012 alors qu’elle travaillait à temps partiel, trois à quatre jours par semaine (elle a depuis repris le travail à temps plein). D’après elle, en plus des efforts qu’elle a pu fournir, c’est grâce à l’aide de certains collègues qu’elle est devenue partner. Anna Green explique qu’il a fallu que « quelques voix fortes s’élèvent » au sein du BCG et rassurent sur ses capacités à gravir les échelons de la hiérarchie. Depuis, en plus de son rôle de partner, elle a pris la tête de la Women@BCG initiative pour la zone Asie-Pacifique. Elle œuvre notamment à briser le mythe d’un « ambition gap » qui existerait entre les femmes et les hommes.
Source : www.smh.com.au
Le britannique Navdeep Arora, ancien partner de McKinsey à Chicago et incarcéré depuis plus d'un an dans une affaire de fraude, a plaidé coupable lundi 17 avril des faits qui lui sont reprochés. En janvier 2016, il avait été arrêté pour avoir mis en place un système de double facturation avec un consultant indépendant au détriment de McKinsey et de son client, State Farm. Navdeep Arora, qui risquait jusqu'à vingt ans de prison, a finalement choisi de signer un accord avec le procureur. Il devrait écoper d'une peine allant de 27 à 33 mois d'emprisonnement. Navdeep Arora devra également verser 568 862 dollars à McKinsey. L'entreprise, victime dans cette affaire, s'était portée partie civile dès janvier 2016, quelques jours après l'arrestation de son partner.
Source : www.pantagraph.com
Comme l'année dernière, ce sont A.T. Kearney et Strategy& qui arrivent en tête du classement Glassdoor des entreprises offrant les meilleurs salaires aux Etats-Unis avec un salaire annuel total médian de 175 000 et 172 000 dollars respectivement.
En revanche, les autres cabinets de conseil en stratégie perdent du terrain. McKinsey se retrouve classé neuvième, alors qu'il était encore quatrième l'année dernière. Pourtant les salaires n'ont pas réellement baissé (153 000 dollars de salaire total médian), McKinsey subit simplement la concurrence accrue de l'industrie high-tech. Le Boston Consulting Group subit également cette tendance de plein fouet, puisque le cabinet n'est classé qu'à la dix-septième position alors qu'il était huitième l'année dernière.
Rap et industrie du conseil ne sont pas si éloignés que l'on pourrait le croire. En septembre dernier déjà, Booba - rappeur hexagonal aux textes aussi épurés qu'imagés - avait l'honneur de présenter une conférence à Harvard. Le musicien se sentira bientôt un peu moins seul dans l'univers des gangsta consultants et pourra trouver une oreille attentive en la personne de Clyde Kelly Atkins, étudiant en MBA, consultant McKinsey et qui sortira en mai son premier album.
C'est d'ailleurs chez McKinsey qu'il a composé une bonne partie de ses morceaux. Il profitait notamment de ses voyages en avion pour exercer sa prose plutôt que son talent pour Powerpoint. Ses week-ends, il les passait à enregistrer sa musique. Devenu étudiant du MBA de Wharton, il a choisi d'utiliser son activité musicale dans ses cours, en faisant de la sortie de son album ' Not rich yet' son projet entrepreneurial.
Le jeune homme ne compte pas pour autant troquer la cravate pour la chemise ouverte et la chaîne en or qui brille. A moins que son album ne fasse de lui un millionnaire, il compte bien retourner chez McKinsey une fois son MBA obtenu. Son souhait le plus cher serait d'être muté au bureau de Los Angeles pour travailler avec des clients de l'industrie musicale.
Source : The Daily Pennsylvanian
Bain & Company a embauché en début d'année Patrick Hoffstetter, ancien Chief Digital Officer du constructeur automobile français. Il a rejoint officiellement le cabinet de conseil en stratégie fin mars au poste d'Advisor du pôle digital. Il prévoit également en parallèle d’exercer des activités de consultant indépendant et de business angel. Patrick Hoffstetter avait quitté le constructeur automobile en octobre dernier, à la faveur d'une réorganisation.
Diplômé d'HEC (1990), il a fait la presque totalité de sa carrière dans l'industrie et le retail, mis à part un passage rapide par Oliver Wyman entre 1990 et 1991. Patrick Hoffstetter a un parcours marquant dans le digital. Avant de rejoindre Renault, il avait entre autres été directeur marketing de SFR, patron de la division produit de Yahoo! France et avait même fait un passage côté start-up en dirigeant les activités françaises de Lastminute.com de 2009 à 2010.
McKinsey a été embauché début avril pour revoir les processus de collecte de l’impôt dans la région du Pendjab au Pakistan. La tâche devrait être ardue, vu les objectifs assignés à McKinsey. Le gouvernement local espère en effet que les revenus de l’impôt qui s’élevaient à 61 milliards de roupies pakistanaises en 2015-2016 (environ 548 millions d’euros) grimpent à 150 milliards (1,347 milliard d’euros) dans trois ans. Soit une augmentation de 245 % des revenus. Un beau challenge en perspective pour McKinsey.
Source : www.dawn.com
C’est sans doute un hasard du calendrier, mais la proximité dans le temps des deux opérations est troublante. Oliver Wyman et Willis Towers Watson (WTW) ont chacun récemment débauché chez le voisin et fait les annonces à seulement un jour d’intervalle. Le 3 avril d’abord, on apprenait que le bureau new-yorkais d’Oliver Wyman avait recruté un senior consultant de chez WTW, Esteban Paez, afin de prendre les rênes de son activité de M&A pour les assureurs en Amérique du Nord.
Dès le lendemain, c’était à WTW d’annoncer la nomination d’un nouveau patron mondial pour sa practice Natural Ressources. Un nouveau patron nommé Thorsten Querfurt, jusqu’à présent partner chez Oliver Wyman à Londres. Deux mouvements opposés, annoncés à un jour d’intervalle, qui interrogent alors que les deux groupeMarsh & McLennan, dont Oliver Wyman est une filiale et WTW sont en concurrence frontale. Alors, hasard ou accord trouvé entre les deux sociétés ?
Le président américain Donald Trump aime les anciens consultants. Il a déjà nommé plusieurs anciens partners au sein de son administration et semble ne pas s’arrêter là puisque la Maison-Blanche a annoncé, jeudi 6 avril, la nomination de Derek Kan au poste de sous-secrétaire d’État au transport. Derek Kan était jusqu’à présent general manager de la start-up Lift. Mais c’est surtout dans le conseil qu’il a vu sa carrière décoller et notamment chez Bain & Company. Travailleur expérimenté, il avait rejoint Bain en 2012 après un MBA à Stanford. Pendant ce MBA, il avait d’ailleurs effectué un stage chez McKinsey. Après deux ans passés chez Bain, il avait finalement intégré l’industrie en 2014.
Source : www.voanews.com
La presse italienne a dévoilé les détails du plan de restructuration d’Alitalia, tel qu’il a été accepté par le conseil d’administration après avoir été revu par Roland Berger. Dans un premier temps, un plan présenté par Etihad, nouvel actionnaire principal, avait été rejeté par le management et les autres actionnaires, car jugé trop radical. Il a donc fallu faire appel à Roland Berger pour établir un nouveau projet, finalement approuvé par l’ensemble des actionnaires.
Le nouveau plan, tel qu’imaginé par Roland Berger, prévoit un retour à la profitabilité d’ici 2019. Pour ce faire, Alitalia va couper dans les dépenses à hauteur d’un milliard d’euros d’ici là. La compagnie devrait entre autres choses drastiquement réduire sa flotte, passant de soixante-dix-sept à vingt avions exploités. Dans le même temps, les équipes de Roland Berger espèrent augmenter les revenus de 30 %, pour les amener à 3,7 milliards par an. Un plan ambitieux qui doit encore faire l’objet de l’approbation de différentes instances et notamment la signature d’une nouvelle convention collective avec les syndicats. Un détail qui a son importance et sur lequel aucun consultant, aussi doué soit-il, n’a réellement la main.
Source : www.flightglobal.com