
Tous les deux sont associés du cabinet Arthur D. Little : Albert Meige et Clément Santander enchaînent les dénivelés comme les missions de conseil. Moyennant quels parallèles ?
Tous les deux sont associés du cabinet Arthur D. Little : Albert Meige et Clément Santander enchaînent les dénivelés comme les missions de conseil. Moyennant quels parallèles ?
Que le conseil en strat’ soit l’un des viviers des cabinets ministériels n’est pas un secret. Quelles sont les différences et similitudes fondamentales de ces deux métiers – en matière d’approche, de delivery et de compétences ?
Pour Talan, l’acquisition de Nova constitue « la première pierre » du déploiement dans le conseil en strat’ du cabinet de conseil et transformation par la tech, selon son VP exécutif Nicolas Récapet interrogé par Consultor.
Positionné sur « la révolution de l’IA », eleven a vu son partnership doubler en un an alors que le secteur fait grise mine. Consultor a rencontré l’un de ses deux managing partners, Ambroise Huret.
En décembre 2024, le géant Blackstone a pris une participation minoritaire de 250 millions d’euros dans Sia – un mouvement loin d’être unique. Quels sont les intérêts réciproques des cabinets de conseil et des fonds ?
Kea & Partners forme le nageur Yannick Agnel, champion olympique à Londres, à l'économie et à l'entrepreunariat, pour l'aider à préparer sa carrière après la natation, rapporte le JDD.
Simon Kucher & Partners à Paris compte 52 consultants à temps plein, sur un total de 660 pour le partnership.
'D’ici trois ans, nous serons 80. À ce moment-là, il faudra réfléchir à la façon de réorganiser le cabinet', annonce Kai Bandilla, dans un entretien à Consultor, où il revient sur son parcours et sa motivation à faire ce métier où 'les raisons de jeter l’éponge à la fin de chaque journée sont nombreuses, mais les raisons de se surestimer, de quitter le bureau chaque soir en se disant 'je suis un super héros', sont très fortes aussi'. Cet entretien s'inscrit dans notre série consacrée aux managing partners (lire les interviews de Jean-Marc Le Roux et d'Olivier Vitoux).
Après l’accord avorté en 2010, le géant américain de l’audit se serait de nouveau rapproché de Roland Berger en vue d’un rachat.
Trois des « Big Four » seraient donc en discussion avec le cabinet allemand.
Près de quinze ans après son rachat par Capgemini, Bossard reste un cabinet mythique dans le monde des consultants.
« Mieux vaut privilégier le dynamisme des hommes que la beauté des organigrammes. » Jeune consultant, Jean-Noël Felli, aujourd’hui administrateur du Bossard Alumni Club et à la tête de son propre cabinet, se souvient parfaitement de cette phrase qui trônait au-dessus du bureau du PDG. « Tout est dit », sourit-il. La maxime résume le mythe Bossard, explique la raison pour laquelle le cabinet, intégré à Capgemini au début des années deux mille, reste encore comme l’une des références dans le monde du consulting. L’entreprise a disparu, mais la marque de fabrique persiste.
Situation tendue chez Roland Berger.
Selon des informations concordantes, le cabinet allemand de conseil en stratégie serait empêtré dans des problèmes de rentabilité structurels en France et en Allemagne. Une offre de rachat pourrait aboutir dans les semaines à venir.
Plusieurs cabinets d'audit sont sur les rangs.
Annoncée fin décembre, l'élection de Nathalie Chatelin (HEC 98) au rang de partner chez Oliver Wyman Paris se précise : elle est associée à la practice Organization Tranformation, où elle était principal depuis 2011.
Les 'pure players' historiques, les Big4, les cabinets de conseil en organisation comme Accenture, BearingPoint ou Capgemini, les bureaux de certification comme Veritas rivalisent de prestations de conseil en développement durable.
Un marché sur lequel les cabinets de conseil en stratégie se positionnent à leur tour. Revue des troupes.
Pour Jean-Daniel Pick, associé chez OC&C, le scandale Findus 's'estompera dans quelques semaines', dit-il dans une interview à 20 Minutes.
Le diagnostic est clair : les « Big Four » développent leurs prestations de conseil, et en priorité le conseil en stratégie identifié comme le chaînon manquant de « la multidisciplinarité mondiale » demandée par leurs clients.
Aucun conflit d’intérêts avec leur métier premier, l’audit, plaident en chœur plusieurs responsables français joints par Consultor.
'Nous ne sommes pas le BCG ou McKinsey : si nous ne fournissons pas un travail d’excellence, je nous donne deux ans pour fermer boutique.
Si la qualité n’est pas reconnu par nos clients, quelle différence ferez-vous avec les grands du secteur ? Cela coûte aussi cher, et vous n’avez même pas la signature.'
Olivier Vitoux (31 ans), managing director chez CVA Paris est le deuxième patron, après Jean-Marc Le Roux, d'un cabinet de conseil en stratégie domicilié en France à répondre à Consultor, dans le cadre d'une série que nous leur consacrons.
Consultor présente un mapping des spin-offs du conseil en stratégie : Arthur Andersen, le BCG, Roland Berger, Bain & Co ou Mars & Co n'étaient initialement que des petites boutiques montées par les anciens d'autres maisons.
Merci à ceux d'entre vous qui ont contribué à compléter les liens entre les différents cabinets, grâce à vous la carte des cabinets de conseil accessible en suivant ce lien a été mise à jour.
Par Benjamin Pollepour Consultor, portail du conseil en stratégie-24/12/2012
Huit 'mobilités internationales', quatre départs et une nouvelle direction parisienne, mais aucun exil fiscal.
Le BCG défend bec et ongles l'intégrité de sa marque et nie l'exactitude d'un article paru dans Challenges.
Dans les années soixante, les entreprises américaines lancent une vaste offensive hors de leurs frontières, en direction du marché européen.
Les service providers, et notamment les activités de conseil en stratégie, suivront le mouvement.
Dans un premier temps, les cabinets s'installent en France et dans le reste de l'Europe sans s'adapter aux spécificités locales. Mais les crises successives des années soixante-dix redéfiniront le paysage du conseil sur le vieux continent.
Jean-Marc Le Roux est le cinquième patron du bureau parisien de Bain & Company, après François Chaillou, Michel Plantevin, Jean-Marie Péan et Olivier Marchal, qu'il a remplacé en novembre 2008.
Dans un entretien à Consultor, qui inaugure une série sur les managing partners du marché français, il fait un bilan personnel et professionnel de son expérience.
Les 40 consultants français de Monitor - sous réserve de leur accord individuel - rejoindront les 480 consultants français de Deloitte, dès que le rachat sera finalisé, indique à Consultor une source proche de la fusion.
L'auditeur entend utiliser cette marque, dont il va garder le nom, pour se faire une place dans le secteur du conseil en stratégie. Objectif : faire croître les parts de marché à un rythme supérieur à celui de toutes les marques historiques.
Fini la débandade de la practice services financiers d'Oliver Wyman Paris : Bruno de Saint-Florent est nommé responsable, Fady Khayatt et Greg Rung (associés) rejoignent le bureau.
Max Blanchet, senior partner chez Roland Berger (notamment pour l'industrie automobile) publie une tribune sur le crédit d'impôts pour la compétitivité et l'emploi, l'une des préconisations du rapport Gallois.
Comme nous l'avions indiqué, Monitor et Deloitte ont confirmé leur rapprochement.
Reste à voir si les deux jeunes mariés convoleront en justes noces : à Paris, plusieurs analystes ne voient pas la marque Monitor faire long feu et anticipent d'autres rapprochements.
Katalyse rachète EuroTDM, société spécialisée dans l'accompagnement des organisations dans la recherche de subventions publiques françaises ou européennes (50 millions d'euros depuis 2000). Le montant de la transaction n'a pas été communiqué.