
La réponse de Siméo Pont, co-auteur de l’étude « La fabrique du risque. Les entreprises face à la doxa géopolitique » de l’IFRI.
La réponse de Siméo Pont, co-auteur de l’étude « La fabrique du risque. Les entreprises face à la doxa géopolitique » de l’IFRI.
Le BCG a contribué à concevoir les mécanismes financiers et logistiques du nouveau système d’aide censé contourner le Hamas, piloté par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF).
Lors de la finale de l’Accuracy Business Cup 2025, 27 étudiants représentant 9 pays ont relevé le défi stratégique et financier posé par Danone et Accuracy à Paris. Débrief avec le partner en charge de la compétition, deux équipes de candidats et des membres du comex du géant français de l’agroalimentaire.
Les consultants remplacés par l’IA ? On en parle depuis le lancement de ChatGPT fin 2022, ou presque. Xavier AI et son CEO-cofondateur, Joao Filipe, annoncent l’avoir fait.
Il y a du mouvement chez Oliver Wyman. Le cabinet crée, en effet, une méga practice mondiale, nommée Consumer, Telco & Tech, regroupant Télécom-Média, Retail-Consumer goods, Tech & Services, et Hospitalities.
Ceux qui pensent que faire du business est un peu comme partir en guerre devraient porter fièrement leur cravate. L'accessoire indispensable du consultant en stratégie mâle est en effet un héritage militaire comme le rappelle Thomas Lot sur le blog de l'Official Board.
Au départ, la cravate n'est qu'un simple foulard noué autour du coup des mercenaires croates combattant aux côtés de l'armée française. Après une victoire importante, le régiment est présenté à Louis XIV, alors seulement âgé de 9 ans. Le monarque tombe sous le charme du bout de tissu et en fait un accessoire royal. La cour, influencée par son souverain, adopte vite la mode et la répand au sein de la noblesse. Le foulard prend alors le nom de cravate, mot dont certains historiens affirment qu'il est un dérivé du nom de ses premiers adeptes, les Croates. Par la suite, ce qu'il restait des mercenaires intègre l'armée française et forme, à partir de 1667, le Régiment Royal-Cravate cavalerie. En dehors de ces rares militaires du rang, la cravate, encore un foulard noué autour du coup, est le privilège de la noblesse et permet de la reconnaître sur le champs de bataille. Au fil des siècles, le bout de tissu s’allonge et prend sa place dans la société civile, devenant un accessoire indispensable de la bourgeoisie du XIXème siècle. C'est un couturier new-yorkais, Jesse Langsdorf, qui lui donnera sa forme actuelle en 1926.
De la noblesse française aux dirigeants actuels, la cravate est restée un symbole de pouvoir et permet de reconnaître d'un seul coup d'oeil le col blanc du col bleu. Ce symbole, associé à sa forme phallique et à son port quasi exclusif par la gente masculine, fait dire à certains qu'il est également un symbole sexiste. Un pas que ne franchira pas Consultor, laissant la liberté à ses lecteurs de se faire leur propre avis.
Le Boston Consulting Group a annoncé jeudi 12 novembre le déménagement de ses bureaux new-yorkais. Le cabinet déplacera à l’automne 2016 ses 500 employés du cœur de Manhattan, et son quartier du Flatiron Building, à la rive Est de l’île. Le BCG intégrera le gigantesque Hudson Yards, future ville dans la ville d’une superficie de près de 158 000 m² (1,7 million de square feet). Le BCG rejoindra entre autres entreprises L’Oréal, SAP ou encore Coach dans ce qui est actuellement le plus important projet immobilier privé de l’histoire des États-Unis.
source : Fortune.com
Harvard organisait vendredi la neuvième Diversity Recruitment Consulting Conference de son histoire. L’événement était l’occasion pour les principaux cabinets de montrer leur attachement à la diversité et d’attirer ainsi les meilleurs étudiants dans leurs rangs. McKinsey, le BCG et Bain & Company étaient tous les trois présents et cofinançaient la conférence aux côtés de Monitor Deloitte. L’événement n’était pas uniquement une opération de communication. Il visait également à donner aux étudiants issus de milieux moins favorisés les clés d’une carrière dans le conseil, là où d’autres sont aidés par leur famille et leur entourage.
Roland Berger, associé au cabinet Capital Consulting, a été engagé pour accompagner la transformation de l’Office National marocain de l’énergie et de l’eau potable (ONEE). La mission consiste en la création de synergie entre les branches « eau » et « électricité ». L’ONEE est né en 2011 du rapprochement des deux activités de fourniture d’énergie.
La mission devrait durer un an, de l’identification des mesures à mettre en œuvre à leur déploiement opérationnel. Les deux cabinets devraient se partager une facture d’un peu moins de 421 000 euros (4,5 millions de dirhams).
Source : Le Matin
La société de conseil en management et IT Solucom, côtée à Paris, est entrée en négociation exclusive en vue de l'acquisition de Kurt Salmon, filiale du groupe britannique MCG depuis 2010.
Les comités d'entreprise des deux entreprises, réunis vendredi dernier, ont été avertis après la clôture des marchés financiers.
On savait le cabinet de conseil en management Kurt Salmon sur le marché. Nous avions même annoncé ses fiançailles avec EY en mai dernier.
Les deux protagonistes avaient finalement abandonné leur projet notamment pour des questions classiques de perte d'activité, liée aux réglementations dites « Channel One ». Ces dernières interdisent en effet à un commissaire aux comptes d'effectuer des missions de conseil pour ses clients. La perte d'activité avait alors été évaluée à 30% du chiffres d'affaires de Kurt Salmon en cas de mariage.
Cette opération donnerait naissance à un poids lourd du conseil en management, fort de plus de 2000 consultants, et réalisant un chiffres d'affaires cumulés de près de 350 millions d'euros.
Kea & Partners a été missionné par CFG Group pour l’accompagner dans la transformation de son métier. La pionnière des banques d’affaires du Maroc devient CFG Bank et investit le marché de la banque de détail. Kea & Partners est intervenu auprès des dirigeants de l’entreprise dans la création d’une banque principalement en ligne. Le cabinet est également aux côtés de CFG Bank pour l’ouverture de ses six premières agences à Casablanca, Fès et Rabat. À terme, le plan mis en place par les dirigeants et ses conseils prévoient l’ouverture de vingt points de vente physiques.
Oliver Wyman a fait appel en octobre devant la commission de la concurrence bulgare de la décision de la Banque nationale de Bulgarie (BNB) qui n’a pas retenu sa candidature à une mission d’audit des banques du pays. Le cabinet estime que son offre était la meilleure, au regard d’une partie des résultats de l’appel d’offres. Sur l’aspect technique, Oliver Wyman surclasse en effet Deloitte, son concurrent. Le cabinet en stratégie reçoit 68 des 70 points de l’évaluation, contre 48 pour l’auditeur. C’est sur la partie financière que le vainqueur fait la différence, en présentant une facture vingt fois moins élevée que celle de son concurrent. Deloitte affiche une note globale à 802 000 euros, en dessous du budget des 860 000 euros annoncé initialement par la BNB. Oliver Wyman prévoyait de son côté une addition au-delà des 16 millions d’euros.
Le Parlement bulgare exige du gouvernement qu'il rende public un rapport d'enquête sur la crise traversée par la quatrième banque du pays, la Corporate Commercial Bank (CCB). Hors ce rapport, rendu fin septembre par AlixPartners, est strictement confidentiel et le ministre des finances lui-même dit ne pas en avoir pris connaissance. AlixPartners et son client doivent décider si oui ou non ils acceptent de dévoiler le contenu du rapport.
Les résultats de l'enquête pourraient faire l'effet d'une petite bombe. En juin dernier, un mouvement de panique généralisé a poussé entre 200 et 500 000 épargnants à retirer leurs avoirs des caisses de la CCB. La Banque Centrale a alors gelé les comptes, pour éviter la banqueroute. Les particuliers craignent désormais de voir leurs économies partir en fumée après un épisode dont les raisons restent flous. Des députés, élus et magistrats pourraient être impliqués dans le départ du mouvement de panique, sur fond de règlement de comptes entre oligarques. Afin de faire la lumière sur les événements, le parlement demande la divulgation du rapport. Si tel était le cas, le rapport d'AlixPartners pourraient pointer du doigt certains des dirigeants de la banque, ceux-là même qui ont commandé l'étude.
La polémique enfle en Grande-Bretagne, après le recrutement en août dernier par Bain & Company de l'ancien secrétaire d'Etat à la santé, Andrew Lansley. Engagé à mi-temps, il sera chargé de conseiller les entreprises sur la mise en oeuvre du Health and Social Care, loi qu'il a lui même fait voter alors qu'il était au gouvernement entre 2010 et 2012. La pilule passe mal outre-manche, et pas seulement parce que David Cameron avait déclaré vouloir fermer la 'revolving door' entre le ministère de la Santé et le secteur privé. Andrew Lansley était déjà accusé d'avoir accru un peu plus la privatisation du secteur de la santé en Grande-Bretagne. En qualité de consultant, il tirera désormais des bénéfices des effets de sa réforme.
Les liens de Andrew Lansley avec le conseil ne sont pas nouveaux et avaient déjà suscité les polémiques. Lorsqu'il avait pris le ministère de la Santé, Andrew Lansley s'était engagé à faire baisser drastiquement les frais de conseil de son administration. Raté. En 2014, elles avaient doublé par rapport à 2010. Les différents acteurs publics de la santé dépensaient alors pour 640 millions de livres en frais de conseil, soit plus d'1,8 millions de livres par jour.
Selon Re/code, repris par de nombreux médias américains, McKinsey serait engagé dans une mission de 'retournement' de Yahoo. Le géant américain doit repenser sa stratégie en profondeur, alors que ses résultats sont décevants depuis plusieurs années. L'autre élément déclencheur, c'est la mauvaise nouvelle concernant les parts du groupe dans Alibaba. Yahoo devait les transférer ce trimestre au sein d'une société indépendante, notamment pour éviter les taxes. Toutefois, l'opération ne pourra finalement pas être réalisée cette année.
McKinsey aurait semble-t-il d'ores et déjà débuté sa mission, en interviewant certains dirigeants de Yahoo. Le cabinet devra ensuite aider l'entreprise de la Silicon Valley dans la définition de son core business pour les prochaines années. Il s'agira notamment de déterminer quelles activités doivent cesser, celles à développer ou bien encore à vendre. Pour l'instant, aucun média ne donne d'information concernant la durée de la mission ni même le montant de la facture pour Yahoo.
Le Boston Consulting Group a inauguré, lundi 26 octobre, son 82ème bureau dans le monde. C'est à Riyad (Arabie Saoudite) que le BCG a choisi d'installer sa nouvelle équipe. Jusqu'à présent, l'ensemble de l'activité pour le Moyen-Orient était piloté depuis Dubaï, comme c'est le cas pour beaucoup de cabinets. A notre connaissance, parmi les leaders mondiaux, seul McKinsey avait déjà franchi le pas d'ouvrir un bureau à Riyad.
Accenture a officialisé la nomination, mardi 3 novembre, de Fabrice Asvazadourian au poste de directeur général d'Accenture Strategy pour la France et le Benelux. Il avait rejoint le groupe en juin dernier, en provenance de Roland Berger, pour diriger cette même activité pour le périmètre hexagonal. Six mois après son arrivée, il récupère la gestion de la Belgique, des Pays-Bas et du Luxembourg.
Fabrice Asvazadouriand, 49 ans, est diplômé de l'Ecole des Mines (1987). Il a réalisé la totalité de sa carrière dans le conseil en stratégie, en grande partie chez Oliver Wyman. Il avait rejoint Mercer Management Consulting en 1990 et s'était vite focalisé sur l'industrie financière. Il était devenu partner en 2000 et avait ensuite dirigé la practice financière pour la France. En décembre 2011, Fabrice Asvazadourian avait quitté Oliver Wyman, en pleine tempête, pour co-diriger le centre de compétence mondial Services Financiers de Roland Berger, poste qu'il a quitté en juin dernier. En parallèle de ses activités de conseil, il a dirigé l'entreprise familiale Asdourian-KJ (un imprimeur francilien) de 1995 à 2002.
Fabrice Asvazadourian, en plus de son poste de directeur général d'Accenture Strategy, siègera au comité exécutif d'Accenture France et Benelux et sera membre de l'équipe mondiale de direction d'Accenture Strategy.
Capital.fr fait le zoom sur Webhelp, l’entreprise française qui est devenue, en seulement quinze ans, troisième du marché des services clients en Europe.
À l’origine du projet, deux consultants en stratégie : Frédéric Jousset, HEC 1992, enfant de L’Oréal et de l’entrepreneuriat. En 1999, il fait un bref passage par la practice private equity de Bain & Company. En un an, il aura au moins rencontré son acolyte, Olivier Duha, pur produit du conseil en stratégie. Dès la fin de ses études en 1992, ce dernier entre chez LEK Consulting où il collabore avec les bureaux de Londres, Paris et Sidney. En 1998, après un MBA de l’INSEAD, il rejoint Bain & Company avant de fonder Webhelp deux ans plus tard.
McKinsey continue inlassablement son investissement dans le digital à travers sa filiale McKinsey Solutions. En l’espace de deux mois, le cabinet a annoncé deux acquisitions d’entreprise du digital et le lancement de trois nouveaux produits.
En septembre d’abord, le cabinet a acheté 4tree, une entreprise de big data dans le secteur du retail. Les équipes, basées à Münster, vont intégrer celles de Periscope, l’offre de McKinsey Solutions d’analyse des ventes et du marketing.
La semaine dernière, McKinsey a intégré VisualDoD, une jeune entreprise américaine installée à Reston (Virginie). Créée en 2012, elle s’est spécialisée en développement de logiciels et consulting pour le marché de la défense. Son software, VisualDoDTM, doit également intégrer le catalogue de McKinsey Solutions.
Pour parachever le tout, McKinsey a annoncé mardi 20 octobre le lancement de trois nouveaux produits pour son offre Periscope. Advanced Insights, Category Factory et Data Vision, tous les trois proposés en SaaS, doivent permettre d’optimiser les prix et les marges des clients de la grande consommation.
Comme nous vous l'annoncions début octobre, Roland Berger est entré au capital de NUMA, accélérateur de start-up parisien. Lundi 26 octobre, Roland Berger a officialisé l'information et a annoncé un partenariat. Celui-ci, lancé en France, doit également être développé dans d'autres pays d'Europe, en Russie, en Afrique ou encore au Moyen-Orient. Ensemble, Roland Berger et NUMA souhaitent développer une offre de services, mener des études communes et organiser des événements.
Trois offres ont déjà été dévoilées. Le LAB DIGITAL doit permettre aux entreprises clientes de développer et tester leurs prototypes de nouveaux produits ou services numériques. La deuxième offre, le START-UP STUDIO, vise l'accompagnement des clients dans la création de leur propre 'excubateur' de start-up. Enfin, DIGITAL INSIDE ambitionne d'aider les entreprises à mener leur propre transformation digitale.
Du côté des études communes, le sujet de la première publication est déjà connue. Il s'agira de déterminer le profil des entrepreneurs et identifier ainsi les clés du succès de la transformation digitale.
Le BCG annonce ce jeudi 29 octobre la nomination de Baudoin Prot, ancien président de BNP Paribas, en qualité de Senior Advisor. Baudoin Prot, HEC (72) et ENA (76 - promotion Guernica), a fait la majeur partie de sa carrière au sein du groupe bancaire. Après un passage par l'inspection des finances et le ministère de l'industrie, il était entré au service de BNP en 1983. En 2003, il était devenu DG du groupe avant d'en prendre la présidence en 2011.
Il avait annoncé sa démission en septembre dernier, après que BNP Paribas avait dû payer 8,9 milliards de Dollars à l'administration américaine. Sous sa direction, le BCG a mené d'importantes missions pour le groupe bancaire notamment une grosse mission pour l'intégration de Fortis.
En pleine tourmente, Volkswagen s’est offert un cador du secteur pour diriger sa stratégie. Le groupe allemand a débauché Thomas Sedran, jusqu’à présent président et managing director de Chevrolet et Cadillac en Europe. L’Allemand de 51 ans prendra officiellement ses fonctions au 1er novembre.
Docteur de l’université Ludwig Maximilian de Munich, il a intégré Roland Berger en 1994 jusqu’à devenir partner. Lorsqu’il quitte le cabinet en 2006, il dirige la practice automobile au niveau mondial. Il rejoint alors AlixPartners pour piloter le secteur automobile et intervient notamment sur la réorganisation d’Opel/Vauxhall en Europe. C’est ce même groupe qu’il rejoint en 2012 pour une mission de management de transition. En juin 2013, il avait pris les rênes de Chevrolet et Cadillac sur le Vieux Continent.
Le cabinet français VERTONE a publié une étude approfondie des pratiques en France en matière d'inbound marketing. Apparu il y a moins de dix ans aux Etats-Unis, le 'marketing entrant' vise à transformer les techniques classiques d'acquisition de nouveaux clients. Vertone, convaincu de l'intérêt de cette démarche, a de son côté constaté une forte hétérogénéité dans l'application de ces méthodes en France. Le cabinet a donc réalisé une étude auprès d'une vingtaine de professionnels (entreprises B2B, éditeurs de solutions IT, agences digitales et contenus, ...). Cette étude a notamment débouché sur la production d'un livre blanc téléchargeable directement sur le site de Vertone. Celui-ci conclut au caractère fortement 'rupturiste' de l'inbound market.
Bain & Company a été choisi, parmi neuf cabinets de conseil, pour aider à la réintégration des services IT du HMRC, le Trésor public britannique. En 2007, le gouvernement avait signé un contrat pharaonique d’externalisation de son informatique avec Capgemini, pour plus de 800 millions de livres par an. Face aux critiques, l’administration souhaite profiter de la fin du bail, en juin 2017, pour réintégrer les compétences et économiser 200 millions par an.
Bain & Company devrait recevoir quelque 20 millions de livres pour une mission d’un peu moins de deux ans. Le cabinet a jusqu’au mois d’août 2017 pour réussir ce qu’un audit récent prédit comme impossible. Il faudra notamment réintégrer 250 consultants externes et assurer la migration de plusieurs logiciels.
Les semaines se suivent et chacune amène son lot d’incursions des Big Four sur le marché du conseil. Cette fois, c’est EY Suisse qui annonce le lancement d’une équipe spécialisée en stratégie financière. Basée à Zurich, elle sera dirigée par un ancien Bainy, Alexander Pertot.
Il a réalisé presque toute sa carrière chez Bain & Company, qu’il a intégré en 1996 à la sortie de son master à la Brunel University à Londres. Après un passage par le MBA de Columbia, il retourne chez Bain en 1999. Il est ensuite promu manager en 2001, puis partner en 2007. En janvier 2014, il avait rejoint le groupe de bijoux Gems and Ladders au poste de CEO.