
Depuis 2022, le phénomène des salariés « boomerang » est largement relayé dans les médias en contrepoint de celui du big quit. Certains experts RH en font un nouveau levier de gestion des talents. Valable dans le conseil en stratégie ?
Depuis 2022, le phénomène des salariés « boomerang » est largement relayé dans les médias en contrepoint de celui du big quit. Certains experts RH en font un nouveau levier de gestion des talents. Valable dans le conseil en stratégie ?
Un nouveau barème de couleurs commence à fleurir sur les CV des consultants McKinsey. À quoi correspond ce système d’unification des « niveaux d’impact » individuels, précisément ?
La crise sanitaire l’a montré : c’est possible. Mais est-ce souhaitable ? Dans le conseil en stratégie, le télétravail suscite depuis 4 ans des annonces régulières d’un « retour au bureau », comme dans beaucoup de professions intellectuelles supérieures. La réalité est plus nuancée.
A 37 ans, Paul Ricard, partner d’Oliver Wyman aux US, vient de se voir confier un challenge d’envergure : prendre la tête de la practice assurance et gestion d'actifs pour l’ensemble de la région Asie-Pacifique à Singapour. Particularité de ce Français né dans l’Aveyron, consultant de la firme depuis 2011 : il a, durant ces 14 années, évolué uniquement hors de France : aux US, dans les bureaux de New-York puis de San Francisco.
Plusieurs cabinets de conseil en stratégie accompagnent leurs consultants désireux de suivre des formations certifiantes. Dans quel contexte, et pour quels bénéfices ?
Elles sont aujourd’hui surnommées le Davos français. Créées en 1992, les Rencontres économiques d’Aix, qui se déroulent historiquement début juillet, ont depuis quelques années gagné leurs lettres de noblesse. Six cabinets de conseil suivis par Consultor (Bain, Kéa, PMP Strategy, McKinsey, Accuracy et le BCG) étaient présents cette année, déplaçant des équipes conséquentes, et en premier lieu leurs chef(fe)s d’orchestre. Des rencontres où il fait bon d’être…
Le cabinet déploie depuis le 1er juin un programme d’accompagnement familial ouvert à tous les parents. Il comprend un congé parental élargi, des aides mensuelles pour la garde d’enfant, ainsi qu’un soutien accru aux personnes salariées du cabinet engagées dans des démarches de procréation médicalement assistée, d’adoption ou qui sont confrontées à une interruption de grossesse.
L’intelligence artificielle pourrait-elle remplacer les consultants ? La question a été posée par l’Observer à plusieurs associés de McKinsey, dont Alex Ingla, directeur de la branche IA du cabinet.
Il a fondé le cabinet Advancy avec Sébastien David il y a près de 25 ans. Éric de Bettignies, ingénieur des Mines, consultant chez Arthur Andersen et Kearney, a voulu faire de sa « boutique » un cabinet face aux mastodontes du secteur.
Entre les cabinets qui ont priorisé un retour au bureau, ceux qui ont été pris d’assaut par les consultants qui préfèrent l’effervescence collective du « présentiel », et ceux qui laissent toute liberté à leurs consultants pour s’organiser comme ils le souhaitent, le tout télétravail promu voilà 2 ans n’est plus uniforme. Chacun fait un peu à sa sauce. Revue des pratiques chez Bain, OC&C, Strategia, Cepton et Advancy.
Ne pas avoir le bon tampon sur son CV dans un des environnements les plus élitistes du secteur privé français peut susciter des comportements d’autocensure – parfois vis-à-vis de l’école par laquelle les consultants sont eux-mêmes passés. Si nombre de cabinets souhaiteraient ouvrir le champ, ils ne le font pas pour des raisons pratiques et de niveau.
Entrer senior dans un cabinet après une longue expérience hors consulting n’est pas un exercice aisé. Cela nécessite pour le moins d’être agile en terre inconnue. Et d’accepter de (re) partir en apprentissage d’un métier ultra processé. Témoignages de celles et ceux qui ont sauté le pas.
L’antenne allemande du BCG a annoncé vouloir accroître la diversité de ses équipes, pour atteindre au moins 5 % d’employés « queer » d’ici 2025.
C’est un fait objectif. De nombreux cabinets sont volontaristes en termes de féminisation de leurs partnerships. Pourtant, la parité de ce type de gouvernance n’est pas encore pour demain, pas avant des dizaines d’années pour les plus pessimistes des expert(e)s. Pourquoi ce plafond de verre résiste-t-il autant ?
Le Net Promoter Score, alias « NPS », outil aussi simple que redoutablement efficace sorti du cerveau d’un partner de Bain & Company au tournant des années 2000, a eu un impact considérable sur la gouvernance des entreprises. Il compte aussi de solides détracteurs.
Tous les ans, les cabinets de conseil en stratégie les plus prestigieux du monde jouent des coudes pour se faire une place à LA réunion mondiale des élites économiques. Un rendez-vous préparé des mois à l’avance. Plongée dans une des semaines les plus intenses de l’année sur la planète conseil.
Depuis l’été dernier, les associés et collaborateurs du cabinet Courcelles Conseil ont décidé d’agir collectivement face au réchauffement climatique.
Lorsqu’ils rejoignent McKinsey, le Boston Consulting Group ou Bain notamment, certains partners débauchés dans la concurrence sont rétrogradés hiérarchiquement pour à nouveau faire leurs preuves. Un prix à payer accepté pour les uns, une tannée repoussante pour les autres.
Si peu de partners souhaitent en parler, ils sont encore un certain nombre à les fréquenter – pour le haut lieu de réseautage qu’ils constituent encore.
Après plusieurs décennies à diriger des opérateurs de télécommunications, Ken Campbell est le chef d’orchestre du développement de PMP dans la capitale britannique.