
Des consultants du cabinet demandent des comptes aux instances dirigeantes. Le BCG se dit « choqué et indigné » des actions menées par deux de ses partners.
Des consultants du cabinet demandent des comptes aux instances dirigeantes. Le BCG se dit « choqué et indigné » des actions menées par deux de ses partners.
Il était attendu depuis le 13 mai, date annoncée dans l’avis de marché informatif : l’appel d’offres de l’Union des Groupements d'Achats Publics (UGAP) courant sur les 3 prochaines années vient d’être publié.
En 2021, McKinsey et Roland Berger figuraient parmi les cabinets sélectionnés sur le volet Conseil en stratégie du précédent marché public « Repreneurs », Roland Berger ayant aussi été choisi pour des missions d’appui opérationnel. Qui va leur succéder ?
L’accord financier conclu avec le département de la Justice met fin à l’enquête américaine, ainsi qu’aux accusations de l’Autorité nationale des poursuites d’Afrique du Sud. Les faits s’étaient déroulés entre 2012 et 2016.
L’Institut de la Vision a choisi d’être accompagné dans la mise en œuvre de son plan stratégique 2024-2028 par Circle Strategy. Emmanuel Gutman, DG de la Fondation Voir & Entendre (l’entité juridique de l’Institut), Jean-Marc Liduena, patron du cabinet, et Adrien Chantraine, principal, ont accepté de lever le voile sur les coulisses de cette mission.
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Vous avez une information dont le monde devrait entendre parler ? Une rumeur de fusion en cours ? Nous voulons savoir !
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Après deux ans et demi de polémique sur le recours par l’État à des cabinets de conseil privés, l’Inspection générale des finances (IGF), mandatée en ce sens par la Première ministre Élisabeth Borne, a fait le tour des ministères pour vérifier la mise en œuvre des garde-fous qui leur avait été demandés par l’ancien locataire de Matignon, Jean Castex. Certes, le document publié début mars 2023 confirme la forte croissance des dépenses de conseil en stratégie. Il révèle aussi un certain nombre de missions inconnues à ce jour.
Le cabinet Roland Berger vient d’être officialisé comme l’un des attributaires du marché du Conseil économique, social et environnemental (CESE) dans l’accompagnement des opérations de participation citoyenne.
Depuis fin janvier, le gouvernement britannique a supprimé plusieurs des restrictions qui pesaient sur le conseil au secteur public, en lien avec sa volonté affichée jusque-là de réduire le recours aux consultants extérieurs. Une décision qui contraste avec le récent changement de cap du gouvernement français.
Le rapport de 2020 réalisé par McKinsey sur les évolutions nécessaires du métier d’enseignant est public depuis peu. Un « enseignement » longtemps resté – sciemment – dans l’ombre, qui pose question tant sur la forme que sur le fond.
Cinq mois après que l’UGAP, la centrale d’achat, a mis sur les rails le second marché pluriannuel de conseil en stratégie de son histoire, PwC, son attributaire, a reçu 48 commandes. C’est 30 % du total des 170 commandes de missions de conseil en stratégie qui avaient été passées sur le marché précédent (alors détenu par McKinsey), selon les documents que la centrale a transmis à Consultor.
À la suite du dernier référendum d’autodétermination de décembre 2021, les deux cabinets ont été mandatés par l’exécutif français pour réaliser un audit de la décolonisation d’une part, et un bilan des accords de Nouméa d’autre part. Les rapports sont attendus en juin 2023.
Deux fiches d’évaluation annuelles de l’ancien patron des activités publiques de McKinsey en France, consultées par le Nouvel Obs, témoignent à nouveau de liens répétés entre le cabinet et Emmanuel Macron. Par ailleurs, de nouvelles perquisitions sont intervenues chez deux anciens de la firme investis dans la campagne de 2017 d'Emmanuel Macron.
Un nouveau marché de conseil très encadré auprès des acteurs publics. Voilà ce que nous promet le gouvernement depuis plusieurs mois via notamment le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Stanislas Guérini. À l’heure de la publication officielle de l’avis de marché et de ses nouveaux attributaires, les pouvoirs publics se veulent rassurants sur l’utilisation raisonnée de l’argent public pour les missions de conseil jusqu’à la fin du quinquennat.
Mercredi dernier, les parlementaires canadiens et leur compatriote Dominic Barton se sont séparés avec de nombreuses incompréhensions mutuelles après deux heures d’échanges. La chambre basse du Parlement enquête sur le rôle de son ancien cabinet, McKinsey, auprès du gouvernement fédéral, et sur ses liens avec le Premier ministre Justin Trudeau.
On peut dire que ce copieux marché (de 150 à 200 millions d’euros) de la DITP s’est fait attendre… Officiellement clos depuis le 22 septembre dernier, on connaît (enfin) les attributaires (dix mandataires et dix co-traitants) de cet accord-cadre quadriannuel de trois lots relatif « à la réalisation de prestations de conseil en stratégie, en cadrage et conduite de projets et en efficacité opérationnelle » auprès de la sphère publique.
En pleine réforme des retraites, le BCG vient de recruter un jeune conseiller du ministère du Travail, qui a planché sur la réforme des retraites.
Nouveau poste très en vue pour l’un des consultants de McKinsey, parmi de nombreuses personnes dans ce secteur à avoir apporté son soutien très tôt lors de la première campagne présidentielle d’Emmanuel Macron.
Après la publication du montant des honoraires qui lui ont été versés par le gouvernement de Justin Trudeau, les deux principaux groupes d’opposition ont exigé la publication de tous les contrats passés avec la firme et la tenue d’une commission d’enquête parlementaire à court terme. Thomas Gerbet, journaliste chez Radio-Canada, auteur de ces révélations, explique à Consultor les raisons de son travail sur McKinsey et ses probables conséquences politiques.
Le parlement américain a voté une loi qui muscle les conditions selon lesquelles des prestataires privés peuvent simultanément servir le secteur public et le secteur privé. En toile de fond, les révélations sur les missions effectuées par McKinsey en faveur des fabricants d’antidouleurs, qui ont tué plusieurs centaines de milliers de personnes en 20 ans, et parallèlement pour l’agence de régulation des médicaments qui a pour mission de juguler ce type de crise sanitaire.
C’est une information du Monde : la Cour des comptes a alerté depuis près d’un an le gouvernement sur « une dérive » dans son recours aux cabinets de conseil.
Le cabinet de conseil a lancé un appel d’offres pour protéger sa réputation. Consultor a interrogé plusieurs de ces agences pour déterminer ce qu’elles pourraient faire si elles étaient retenues.
« Favoritisme » et « tenue non conforme de comptes de campagne » : tels sont les chefs d’inculpation qui pourraient être retenus contre le président de la République et le cabinet McKinsey.
Le cabinet CMI Stratégie est le nouveau co-attributaire du dernier marché de conseil de l’Agence régionale de santé (ARS) Pays de la Loire.
Deux ans durant, Alexandre Medvedowsky a fait feu de tout bois sur les potentiels effets délétères du poids des cabinets de conseil internationaux au sommet de l’État. Au même moment, le groupe d’intelligence économique auquel il appartient a remporté un important marché de conseil pour l’État – sans que lui ne fasse aucun lien. Consultor brosse son portrait.
Un nouveau pavé dans la mare « secteur public » pour la sphère consulting. Où il est question cette fois de l’omniprésence des cabinets de conseil dans l’élaboration du plan de relance voté en décembre 2020 par les dirigeants de l’ensemble des pays de l’Union européenne, le Parlement européen et la Commission européenne, afin d’aider les gouvernements à réparer les dommages économiques et sociaux causés par la pandémie.