Vos articles sont pollués, comme beaucoup de rapports de consultants, de mots étrangers (globish anglais) transformant votre langue d'expression en un pidgin assez pauvre ("shareholders", "online","media training" pour ne citer que les votre). Ce ne sont pas des mots nouveaux, pour lesquels il n'existe pas de traduction. Cette langue d'appoint reflète le manque de profondeur et de subtilité des études et articles en question. De la poudre aux yeux qui se lit en diagonale, sans trop d'autre répercussions qu'une hausse d'égo nombriliste peu productive. Peut-être râleur me direz-vous, mais le jeux en vaut la chandelle je crois : http://www.lexpress.fr/culture/livre/claude-hagege-imposer-sa-langue-c-est-imposer-sa-pensee_1098440.html
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