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- 18 mai 2018
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Le 1er septembre 2016, un ancien senior executive d’Accenture, salarié depuis 1989, avait été débouté, en appel, de plusieurs de ses demandes vis-à-vis de son ancien employeur qui l’avait licencié le 4 mars 2009 pour insuffisance professionnelle. Un motif fallacieux selon l’ancien cadre pour qui ce licenciement est la conséquence d’une politique de progression des carrières jeuniste dissimulée par le principe du « up or out ». À chaque étape, seuls les meilleurs sont sélectionnés, les autres étant « invités » au départ. Un arrêt de la cour d’appel défavorable à l’ancien cadre a été cassé par la Cour de cassation dans un arrêt du 12 avril, renvoyant le dossier sur le fond devant la cour d’appel. Accenture demeure condamné à payer 260 000 euros à titre de dommages et intérêts.